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avril 4, 2018

Voici la date du Ramadan 2018 au Maroc

Par Samir Kadiri, président de l’Observatoire Ribat Al Fath Afin de déterminer par le calcul la possibilité d’une visibilité du… Read moreRead more Voici la date du Ramadan 2018 au Maroc

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avril 4, 2018

Un nouveau centre médico-légal pour Marrakech

RÉGIONS
Un nouveau centre médico-légal pour Marrakech
Par Badra BERRISSOULE | Edition N°:5244 Le 04/04/2018 | Partager
Sur 1,5 ha, il ouvrira prochainement ses portes
La commune, la Région et la préfecture participent au financement
Un investissement total de 24,5 millions de DH
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Le nouveau centre médico-légal est sis au quartier Massira. La commune de Marrakech va soutenir l’établissement par le recrutement de trois médecins (Ph. Mokhtari)

Marrakech va avoir un deuxième centre médico-légal aux normes et dont les travaux sont presque achevés. Le projet a été présenté aux médias lors d’une rencontre presse autour des principales infrastructures en cours. Si au quartier Al Massira Menara, ce centre est d’une surface totale de 1,5 hectare et comprend deux salles d’autopsie et deux autres pour les ablutions en plus d’un espace pour la radiologie et une mosquée.

La commune de Marrakech va soutenir l’établissement par le recrutement de trois médecins. La nouvelle morgue compte des chambres froides et un plus grand nombre de casiers frigorifiques dont température négative (-20°), qui servent à conserver les corps pendant une longue période. La capacité d’une chambre froide peut atteindre jusqu’à 50 corps. Ce qui multiplie la capacité globale de la morgue et peut servir dans les cas d’extrême nécessité telles les grandes catastrophes.

Autre équipement dans le centre médico-légal, une salle polyvalente qui pourrait être utilisée en salle de conférence, d’attente et de soutien en cas de catastrophe. Lors des attentats de l’Argana, les familles ne savaient pas où s’adresser. Le nouveau centre a été financé par les élus locaux. En effet, la commune de Marrakech a investi 16 millions de DH à travers un excédent de budget réalisé en 2016 et l’Initiative locale du développement humain.

De son côté, la Région a contribué à hauteur de 2,5 millions de DH et la préfecture de Marrakech à travers l’INDH a misé 6 millions de DH. Une nouvelle infrastructure qui devra élever le niveau de travail au sein des bureaux communaux de la santé, en particulier au niveau de la morgue, à améliorer la qualité des services offerts aux citoyens et à surmonter les difficultés relatives au manque d’encadrement et d’interventions des partenaires.

En effet, à Marrakech ou ailleurs, la morgue connaît des dysfonctionnements majeurs dus parfois à l’absence de structure spécialisée dédiée à l’examen et aux opérations d’autopsie dans les régions et le manque des ressources humaines et des cadres médicaux, outre l’ignorance des mesures organisationnelles. A cela s’ajoute le manque d’implication et d’engagement pour résoudre les problèmes liés au transport des morts ou encore la simplification des procédures administratives relatives à la morgue.

De notre correspondante permanente, Badra BERRISSOULE

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mars 24, 2018

Au Musée YSL au Maroc, les vêtements ne sont pas les seuls produits phares

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Deux portraits d’Yves Saint Laurent, d’Helmut Newton, sont suspendus derrière une vitrine de bijoux au Musée Yves Saint Laurent à Marrakech, au Maroc. CréditNicolas Mathéus / Fondation Jardin Majorelle
MARRAKECH, Maroc – Des foules de visiteurs font la queue pour voir les vêtements exposés au Musée Yves Saint Laurent de Marrakech . Mais, une fois à l’intérieur, ils semblent également impressionnés par la caverne de ses bijoux d’Ali Baba.

Cette caverne, comme l’a décrit Dominique Deroche, son commissaire, est une longue vitrine rectangulaire divisée en thèmes – couleur, or, Afrique – qui offre un autre regard sur les processus de création de M. Saint Laurent, le maître-créateur algérien. qui est décédéen 2008.

Les accessoires de M. Saint Laurent retiennent l’attention depuis septembre, lorsque le Musée Yves Saint Laurent Paris a ouvert ses portes dans son ancien quartier général de l’avenue Marceau; et octobre, quand le musée ouvre à Marrakech (la ville, dit-il, qui lui “apprend la couleur”) et Phaidon publie “Yves Saint Laurent Accessoires” de Patrick Mauriès.

Mme Deroche travaillait depuis longtemps pour la maison de couture en tant que liaison de presse. Maintenant âgée de 73 ans, elle a fait partie de l’équipe qui a sélectionné des pièces provenant des vastes archives de M. Saint Laurent à Marrakech, faisant ce qu’elle a dit être “quatre ou cinq” visites au Maroc pour terminer le travail.

 
Pour ce qui est des affichages d’accessoires seulement, dit-elle, il y avait environ 20 000 pièces à considérer. Elle a fait des sélections avec Pierre Bergé, ancien partenaire commercial et personnel de M. Saint Laurent ( décédé en septembre ), et le concepteur de l’exposition, Christophe Martin.

“Tout a commencé en 2015”, a déclaré Mme Deroche lors d’une interview fin février à Paris, entourée de paniers de vêtements du label Rive Gauche. C’est à ce moment-là que M. Bergé a demandé son aide.

“C’est la première fois que je suis commissaire, mais il me connaissait très bien parce que j’avais commencé à travailler là-bas en 1966 et il savait que je connaissais beaucoup” le style Saint Laurent, dit-elle.

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Quelques-unes des pièces d’exposition, choisies parmi 20 000 objets dans les archives du concepteur. CréditPeter Cain
Elle savait, par exemple, que le goût du créateur pour les bijoux était rarement sous-estimé. “Il a mis beaucoup sur chaque regard”, a déclaré Mme Deroche. «Parfois, il ajoute deux ou trois colliers à la fois, ou deux ou trois bracelets», s’inspirant de créations de la maison supervisées depuis des décennies par Loulou de La Falaise, l’une de ses nombreuses muses. Il a également travaillé avec des maisons et des artisans comme Roger Scemama, Paul Caillol, Gripoix et Robert Goossens.

«Saint Laurent aimait beaucoup les accessoires, mais il a toujours dit qu’ils devaient être faux, gros et faux», a déclaré Mme Deroche. “Il n’a pas aimé jouer avec de vrais diamants.”

Mais qu’en est-il, par exemple, de cet ensemble de deux étoiles d’or parsemées de pierres rouges: Sûrement, au moins, des grenats?

“Faux, faux, faux”, souligne Mme Deroche. “Il a aimé ça, tu sais. Mais il a toujours travaillé avec les meilleurs sculpteurs et vrais bijoutiers. Ces pièces ne sont pas collées, elles sont incrustées. ”

Dans ses créations de bijoux, M. Saint Laurent privilégie également les formes et matériaux de la nature (broches en forme de colombes ou de tournesols) et les motifs qu’il considère comme chanceux (étoiles, croix, coeurs et trèfles à quatre feuilles). L’opulence serait parfois ajoutée, comme la feuille d’or sur un bracelet en bois aux influences africaines.

Le blé était aussi un thème récurrent dans ses épingles et bracelets. “La paille vous donne de la chance et de la force”, a déclaré Mme Deroche. «Même dans son bureau privé, nous avons toujours ajouté un bouquet de blé.» (Il est devenu si étroitement associé au concepteur que Catherine Deneuve, une amie et une cliente de longue date, apportait une gerbe de blé aux funérailles du designer.)

Peut-être les objets les plus accrocheurs de la vitrine de Marrakech – et parmi les plus précieux, selon Mme Deroche – sont deux pièces de bronze doré portable par le sculpteur français Claude Lalanne, faites à partir de moulages de la taille et la buste du modèle Veruschka en 1969.

Ils ont été portés sur la piste avec des robes en mousseline breezy à la place d’un collier ou une ceinture.

“Saint Laurent a toujours dit que pour lui, un bouton ou une ceinture est aussi une forme de bijoux”, a déclaré Mme Deroche.

Par SUSANNE FOWLER 24 mars 2018

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mars 20, 2018

Dessalement d’eau de mer

Dessalement d’eau de mer : le Maroc veut aider Gaza
Dessalement d’eau de mer : le Maroc veut aider Gaza © Copyright : DR
20 mars 2018 – 21h55 – Economie

Un soutien technique peut être apporté par le Maroc pour le dessalement d’eau de mer à Gaza, vient de déclarer l’ambassadeur du royaume auprès des institutions européennes, Ahmed Réda Chami.

« Le Maroc s’engage à apporter un soutien d’ordre technique dans le cadre de ce grand projet et ne ménagera aucun effort pour appuyer pleinement cette initiative », a-t-il affirmé lors de la réunion des pays donateurs pour la réalisation de ce projet.

Le royaume « salue cette initiative qui permettra de traduire sur le terrain l’élan de solidarité internationale visant à améliorer les conditions de vie de la population palestinienne dans la bande de Gaza à un moment où plus de 2 millions de Palestiniens dépendent presque exclusivement de l’aquifère côtier comme source d’eau douce et seulement 3 % de l’eau pompée est conforme aux normes de qualité de l’eau potable de l’organisation mondiale de la santé », a-t-il poursuivi.

En tout, 456 millions d’euros ont été mobilisés en faveur de ce grand projet d’infrastructure dans la bande de Gaza qui a pour objectif de fournir un minimum de 55 millions de mètre-cube d’eau potable par an aux personnes en besoin urgent d’approvisionnement en eau.

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mars 20, 2018

Pourquoi le printemps tombe encore le 20 mars ?

Cette année, l’hiver fait ses adieux ce mardi 20 mars. Pourquoi le printemps ne tombe-t-il plus le 21 mars ?

 
Ce n’est qu’un au revoir, hiver… Alors que la plupart d’entre nous sommes habitués à ce que le printemps fasse son nid le 21 mars, cette année, comme les neuf dernières, il tombe le 20 mars. Pourquoi ce décalage dans les dates ?

Pour le commun des mortels, le printemps est synonyme de retour des beaux jours, mais en réalité, il marque surtout ce moment où le jour et la nuit ont la même durée. Comme l’explique Futura Sciences, le soleil atteint la verticale de l’équateur, et, en clair, les jours sont plus longs dans l’hémisphère nord, que dans le sud. A l’équinoxe de l’autonome, c’est tout bonnement l’inverse. 

A lire aussi : Le soleil bientôt de retour ? La réponse de Météo France

Le printemps tombe toutes les années le jour de l’équinoxe de printemps, qui lui peut varier selon les rotations de la planète. Et depuis près de dix ans, le printemps n’arrive plus le 21 mars, mais bien le 20, et ce… jusqu’en 2102. Aujourd’hui, l’équinoxe se produira à précisément 17h15.

Si en Europe cette date n’a pas tant d’importance, au pole nord et sud c’est plus radical. L’arrivée du printemps entraîne une journée longue de 6 mois dans le pôle Nord et le cercle polaire arctique tandis que le pôle Sud plonge dans une longue nuit de 6 mois.

 
La rotation imparfaite de la Terre
L’axe de rotation de la Terre, ayant tendance à s’incliner, fait varier la distance entre notre planète et le Soleil de 147 à 152 millions de kilomètres. Ce phénomène est dû à la révolution de la Terre, qui n’est pas toujours identique.
Notre calendrier a lui aussi ses petites manies : une année peut contenir 365 ou 366 jours, février est l’unique mois pouvant contenir 28 ou 29 jours, et les équinoxes peuvent tomber à des jours différents. Quand l’équinoxe de printemps varie entre trois jours (9, le 20 ou le 21 mars), l’automnal peut tomber le 21, 22, 23 ou 24 septembre. 

Il va donc falloir s’habituer à l’arrivée du printemps le 20 mars pour les 84 prochaines années, à une exception près, en 2044, la fin de l’hiver se produira le 19 mars. 

Enfin, équinoxe de printemps ou non, il va falloir rester couvert. Les prévisions de Météo France sont maussades jusqu’à Pâques, avec des des températures légèrement en-dessous des moyennes de saison. 

Publié par Marion Epinette le Mardi 20 Mars 2018 : 09h43

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mars 20, 2018

Bientôt la nationalité aux époux étrangers

 
Une proposition de loi est à la Chambre des représentants

Le nouveau texte impose au conjoint étranger d’avoir une résidence habituelle et régulière au Maroc du ménage depuis cinq ans au moins.

C’est un grand changement qui se prépare au niveau du code de la nationalité. Les Marocaines pourront bientôt transmettre leur nationalité à leur époux étranger. C’est ce qu’a annoncé mercredi dernier au siège de l’ONU la ministre de la famille, de la solidarité, de l’égalité et du développement social, Bassima Hakkaoui. Il faut bien comprendre qu’une proposition de loi modifiant et complétant l’article 10 du dahir n° 1.58.250 du 6 septembre 1958 portant code de la nationalité marocaine avait été déposée le 17 novembre 2017 à la Chambre des représentants. Cette proposition de loi a ensuite été transmise le 4 décembre 2017 à la commission de justice, de législation et des droits de l’Homme. Celle-ci émane des partis de la majorité gouvernementale (PJD, UC, MP, USFP, PPS) qui jugent l’article 10 du code de la nationalité discriminatoire. Cet article (modifié par la loi n° 62-06 promulguée par le dahir n° 1-07-80 du 23 mars 2007) stipule : «La femme étrangère qui a épousé un Marocain peut, après une résidence habituelle et régulière au Maroc du ménage depuis cinq ans au moins, souscrire, pendant la relation conjugale, une déclaration adressée au ministre de la justice, en vue d’acquérir la nationalité marocaine».

Cependant, les Marocaines mariées à des étrangers ne jouissent pas du même droit. Les auteurs de cette proposition de loi estiment que le législateur a autorisé l’octroi de la nationalité aux femmes étrangères sans le permettre aux maris étrangers en raison de «circonstances religieuses, sociales et historiques» qui sont aujourd’hui dépassées avec l’évolution de la société et les accomplissements du Code de la famille. Elle est également justifiée par les «difficultés rencontrées dans les familles mixtes, notamment en ce qui concerne le renouvellement de la carte de séjour et l’obtention de visa de voyage». Ainsi, le nouveau texte impose au conjoint étranger d’avoir une résidence habituelle et régulière au Maroc du ménage depuis cinq ans au moins. Il faut rappeler qu’en 2013, Mustapha Ramid qui était à l’époque ministre de la justice avait annoncé qu’un projet de loi permettant l’obtention de la nationalité marocaine au conjoint étranger ayant épousé une Marocaine a été proposé au gouvernement.

Le ministre avait déclaré ne pas comprendre pourquoi la loi n’octroie pas le droit à l’épouse marocaine de transmettre sa nationalité à son conjoint étranger alors qu’elle a le droit de la transmettre à ses enfants. «Les membres d’une même famille ne peuvent en aucun cas être soumis à des régimes juridiques différents», avait-il déclaré. En attendant l’approbation de cette nouvelle loi, il est important de signaler que jusqu’à présent plus 33.500 enfants de mère marocaine et de père étranger ont obtenu la nationalité marocaine. Selon la ministre, aucun enfant au Maroc n’est apatride. La nationalité est aussi octroyée aux enfants de parents inconnus et à ceux pris en charge au Maroc ou à l’étranger, partant du principe que les «frontières ne doivent pas priver des personnes de jouir du droit à la nationalité», a-t-elle indiqué.

Publié par Laila Zerrour
Date : mars 19, 2018
dans:Société, Une

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