Météo Maroc : jusqu’à 40 degrés à Marrakech
Par Lesiteinfo – 16 Mai 2019 À 9 H 51
Le temps sera “assez chaud à chaud” sur le sud-est, l’est des provinces sud, l’intérieur de Souss et les plaines à l’ouest de l’Atlas, ce jeudi 16 mai au Maroc.
Les température minimale: de l’ordre de 08/14° C sur les reliefs, 20/26° C sur les plaines à l’ouest de l’Atlas, l’intérieur du Souss, le sud-est et l’est des provinces sud et de 15/20° C ailleurs.
Les température maximale: de l’ordre de 25/30° C sur les reliefs, le Tangérois et près des côtes, 30/35° C sur l’Oriental et les plateaux et les plaines nord, 30/40° C sur les plaines centre, l’intérieur de Souss, les versants sud-est et l’ouest des provinces sud et 39/42° C sur l’extrême sud-est et l’est des provinces sud.
Voici les températures minimales et maximales prévues par la Direction de la météorologie nationale pour la journée du jeudi 16 mai:
Min Max – Oujda 15 34
– Bouarfa 16 34 – Al Hoceima 16 26 – Tétouan 16 26 – Sebta 16 22 – Mellilia 15 26 – Tanger 16 26 – Kénitra 15 26 – Rabat 14 27 – Casablanca 16 25 – El Jadida 16 27 – Settat 19 35 – Safi 17 30 – Khouribga 19 34 – Béni Mellal 20 37 – Marrakech 22 40 – Meknès 15 34 – Fès 14 35 – Ifrane 11 28 – Taounate 18 33 – Errachidia 22 36 – Ouarzazate 18 36 – Agadir 15 26 – Essaouira 18 22 – Laâyoune 16 27 – Es-Smara 21 42 – Dakhla 18 21 – Aousserd 19 38 – Lagouira 17 23.
S.L. (avec MAP)
Pour la France, le Maroc est le seul pays sans risques en Afrique
Pour la France, le Maroc est le seul pays sans risques en Afrique © Copyright : DR
15 mai 2019 – 08h00 – Monde
Lors de la mise à jour des « conseils aux voyageurs », le Maroc a été qualifié par le ministère français des Affaires étrangères d’unique pays sans risques pour les touristes français, en Afrique.
Quatre couleurs distinguent les pays du monde dans cette évaluation du niveau de risques encourus par les touristes. Rouge signifie « formellement interdit », orange « déconseillé sauf raison impérative », jaune « vigilance renforcée », et enfin vert pour « vigilance normale ».
Placé au niveau vert, le Maroc est considéré comme sauf et sans risques pour les touristes, parallèlement avec les États-Unis, le Canada, l’Australie, l’Argentine, le Japon et les pays européens.
Par contre, la majorité des pays africains ont été classés sous la rubrique « vigilance renforcée », à l’exception de l’Algérie où on retrouve les trois niveaux affichés sur l’ensemble du territoire, jaune, orange et rouge.
Le Quai d’Orsay tient toutefois à rappeler qu’en décembre dernier, deux touristes scandinaves avaient été tuées dans la région d’Imlil. « Le 17 décembre 2018, deux touristes européennes ont été assassinées dans une zone isolée de montagne, dans le haut Atlas. Les autorités marocaines ont indiqué que les suspects appartenaient à un groupe terroriste », lit-on.
Le Royaume reste donc sûr mais il faut, pour les touristes français se rendant sur place, « observer une certaine vigilance dans les lieux publics ou de rassemblement et d’éviter de se déplacer seul dans des lieux isolés ou reculés. »
EXPAT & VIE PRATIQUE
Communication des expatriés : quoi de neuf sous les écrans ?
Par Justine Hugues | Publié le 13/05/2019 à 09:00 | Mis à jour le 13/05/2019 à 15:14
expatriés nouveaux modes de communication
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Les nouvelles technologies numériques offrent aux expatriés moult possibilités de maintenir un contact étroit avec leurs proches restés au bercail. De quoi faciliter leur vie à l’étranger… ou freiner leur intégration ? Témoignages.
« On aurait pu être en province, il n’y aurait pas eu grande différence ». Domitilla, orthophoniste belge, se souvient de sa première expatriation à Londres. Aujourd’hui, partir à l’étranger ne veut pas dire couper les ponts avec la France. En plus de pouvoir suivre l’actualité de leur pays et conserver leurs habitudes, les expatriés gardent des liens privilégiés avec l’Hexagone.
Selon l’enquête Ipsos réalisée en 2015 « Liens et relations avec la France des Français résidant à l’étranger », 78% des Français établis à l’étranger rentrent en France au moins une fois par an. Entre ces retours estivaux, WhatsApp, Skype, Facebook et Instagram sont devenus les plus fidèles alliés de la communication des expats’. Une facilité que savourent encore davantage les « vétérans » de la vie à l’étranger. « Lorsque j’étais au Maroc, en 1995, je n’avais pas Internet, juste le téléphone, qui coutait très cher et le courrier qui mettait parfois trois semaines à arriver. Arrivée à Taipei en 1999, les emails ont changé ma vie », explique Isabelle, aujourd’hui expatriée aux Etats-Unis.
« Loin des yeux, loin du cœur, n’est plus aussi vrai qu’autrefois »
« Sans les réseaux sociaux, la séparation avec ce qu’on quittait nous arrivait de plein fouet. C’était ‘ça passe ou ça casse’, observe Audrey Chapot, anthropologue, coach et conférencière. Maintenant, les technologies numériques facilitent la décision de s’expatrier car on sait qu’on ne sera pas ‘coupé du monde’, et les situations transitoires sont plus évidentes ». Un appel vidéo lors des grandes fêtes familiales, une note vocale à un enfant rentré étudier en France, une photo prise et envoyée en deux clics à toute sa famille depuis son smartphone…La facilité des contacts journaliers est « révolutionnaire », estime Marine, depuis Los Angeles. Pour cette Française de 48 ans, « loin des yeux loin du cœur n’est plus aussi vrai qu’autrefois ». Les réseaux sociaux donnent une cure de jouvence aux grands-parents, permettent de renouer des contacts et alimentent les liens sociaux de différentes façons.
Depuis une quinzaine d’années, les expatriés ont également trouvé dans les blogs l’opportunité de partager facilement leur quotidien. « La famille peut suivre nos aventures et j’ai aussi pu me connecter à de nouvelles personnes », justifie Isabelle. « Quand j’étais au Japon, mon blog a permis à mes enfants, qui étaient petits à l’époque, d’avoir des souvenirs en images et en écrits puisque j’ai fini par l’imprimer et en faire un livre » poursuit Domitilla. Plus tard, lors de son séjour à Singapour, elle joignait aux vœux de nouvelle année une « lettre d’informations » numérique, par laquelle elle partageait les nouveautés personnelles et professionnelles de la famille.
A chaque situation son niveau de communication
Pour ceux qui partent quelques années, « le port d’attache reste la France et le lien avec celle-ci via toutes les technologies est très important », explique Audrey Chapot. D’autres testent l’aventure à l’étranger, sans savoir à priori s‘ils rentreront en France. Dans ce cas, « les liens entretenus avec la France sont comme des balises, qui vont leur permettre d’en poser de nouvelles et ainsi construire leur expatriation », assure l’anthropologue. « Quand on se sent entouré (même virtuellement !), cela donne de l’énergie pour être proactif et s’intégrer » confirme Marine. Enfin, certains quittent la France avec un aller simple. Sans couper les ponts, ils prennent plus de distance et établissent des filtres dans leur communication, pour que celle-ci n’empiète pas sur leurs nouvelles rencontres à l’étranger.
Le tempérament des personnes, l’intention de l’expatriation – le fait qu’on soit moteur ou conjoint suiveur, ou qu’on ait été muté sans avoir son mot à dire – le modèle de l’expatriation (seul ou avec des enfants) sont autant de facteurs qui détermineront le besoin d’alimenter les liens avec son pays d’origine. « Il y a aussi un coup de chance » ajoute Audrey Chapot : des environnements dans lesquels on se sent bien d’emblée, et d’autres où c’est plus difficile. Le lien avec la France est alors essentiel.
Ambivalence
« La majorité des expatriés voient les nouveaux outils de communication comme un avantage et c’est complètement logique, précise Audrey Chapot. Il n’empêche que quand on gratte un peu, ils ont parfois l’impression de n’être pas allés jusqu’au bout comme ils l’auraient souhaité. Ils ont gardé un pied chez eux sans avoir pu mettre toute leur énergie dans l’intégration ».
Le recours aux technologies numériques, en créant une proximité « artificielle » avec son entourage, conduit parfois à des déconvenues. « Je ne comprends pas, je l’avais si souvent au téléphone et je l’ai retrouvé tellement changé ! » est une phrase qu’Audrey Chapot entend régulièrement en séance d’accompagnement individuel. Certaines épreuves, comme des deuils, peuvent lever le voile sur les travers des relations à distance. « Dans les moments difficiles, on s’attend à ce que nos proches soient là et ce n’est pas toujours le cas, remarque Domitilla. Lorsque mon mari a perdu sa grand-mère, alors que nous avions été très présents depuis Singapour, personne n’a pensé à nous contacter le jour de l’enterrement. Faute de pouvoir rentrer, on s’est senti un peu seuls ». Pour Marine, la difficulté de maintenir le contact avec la France tout en vivant pleinement son expatriation s’observe avec plus d’acuité chez les enfants. « Au début de l’installation, avoir des échanges excessifs avec leurs amis restés ailleurs peut freiner leur intégration et raviver des sentiments de tristesse. Mieux vaut ne pas trop utiliser les outils numériques et rester ancré dans la vie courante ».
Lâcher prise
Comment dès lors trouver un équilibre ? « Il faut lâcher prise, conseille Domitilla. En l’absence de don d’ubiquité, acceptons que tout le monde n’aura pas de nouvelles de nous à chaque seconde et inversement. Il est logique que prises dans l’intensité du moment (heureux ou malheureux), les personnes se concentrent sur le moment présent et pas sur les absents. Quand on s’expatrie, il faut être confortable avec cette idée, sinon on se rend malheureux pour rien ». Savoir partager les bonheurs comme les soucis du quotidien, dans une relation sincère mais à remous : la base est là, WhatsApp suivra.
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Justine Hugues
Justine Hugues
Après avoir travaillé 8 ans dans l’aide humanitaire et au développement (en Amérique Centrale, République Dominicaine et Birmanie) elle s’est reconvertie dans le journalisme avec l’ESJ Pro. Elle fait aujourd’hui partie de l’équipe de rédaction à Paris.
Météo : un dimanche sous la chaleur au Maroc (44 degrés)
Météo : un dimanche sous la chaleur au Maroc (44 degrés) © Copyright : DR
12 mai 2019 – 09h00 – Maroc
Il fera encore très chaud ce dimanche sur une grande partie du Maroc, selon les prévisions diffusées par la Direction de la météorologie nationale (DMN).
La chaleur devrait concerner notamment les plaines nord et centre, le Souss, les provinces du Sud et le sud-est, indique DMN dans ses prévisions quotidiennes.
Ce matin, il fera de 11 à 16 degrés sur les reliefs, de 16 à 21 degrés sur les plaines atlantiques, la Méditerranée, l’Oriental, le Souss, le nord des versants sud-est et l’ouest des provinces du Sud et de 20 à 26 degrés sur les plaines intérieures, l’extrême sud-est et l’est des provinces du Sud.
L’après-midi, il est prévu de 20 à 26 degrés sur les reliefs et la Méditerranée, de 28 à 35 degrés sur l’Oriental et près des côtes atlantiques, de 34 à 39 degrés sur le Saiss, les versants sud-est et les plateaux de phosphates et d’Oulmès, de 38 à 44 degrés sur l’intérieur du Gharb, du Loukkos, de Abda, Doukkala, Rhamna, Tensift, Al Haouz, le Souss, les provinces du Sud et l’extrême sud-est.
Les températures estivales devraient perdurer au moins jusqu’à mardi avant un retour à la normale saisonnière.
Voici le nouveau clip de Maître Gims et Maluma tourné à Marrakech (VIDEO)
Par Lesiteinfo – 11 Mai 2019 À 10 H 06
La star du rap français, Maître Gims, et le chanteur colombien Juan Luis Londoño Arias, connu sous le nom artistique de Maluma, viennent de tourner en duo un superbe clip à Marrakech.
“Le tournage de ce clip a duré deux jours et s’est déroulé dans d’excellentes conditions”, a déclaré Maître Gims.
Cette star de la chanson mondiale a fait savoir que ce clip tourné en duo avec Maluma, un chanteur très populaire et très connu aux Etats-Unis d’Amérique, en Amérique latine et dans les pays hispanophones, est issu de son album qui sortira le 26 avril de cette année. Le thème de ce clip est très léger et très festif abordant des sujets variés tels la courtoisie et l’amour, ajoute-t-il.
“J’ai tenu à ce qu’on tourne ce clip ici à Marrakech où je vis pour mettre en avant cette cité millénaire et ses énormes potentialités touristiques”, a-t-il ajouté, relevant que “le tournage de ce clip ici à Marrakech est une façon de rendre hommage à cette ville où j’ai été accueilli à bras ouverts”.
Et de noter que l’artiste colombien Maluma a été très heureux de tourner un clip au Maroc, un pays africain qu’il visite pour la première fois et pour lequel il ne cache pas son admiration.
“C’est un pari réussi et je suis certain que ce clip sera très bien accueilli par les fans de la musique”, a-t-il assuré.
S.L.
Roby, l’application qui veut révolutionner le taxi au Maroc
Lancée en décembre dernier à Marrakech et en février 2019 à Casablanca, la nouvelle application uniquement dediée aux petits et grands taxis compte déjà plus de 1200 chauffeurs dans les deux villes et quelque 10.000 comptes clients actifs.
Le modèle de Roby est simple et rompt avec les pratiques du marché : aucune commission sur les courses effectuées par le chauffeur de taxi, mais un abonnement mensuel de 490 dirhams pour l’utilisation de la plateforme de réservation, le respect d’exigences strictes d’hygiène et de sécurité. Entre autres : pas de secondes personnes prises à bord en cours de trajet et le prix de la course affiché dès la commande du taxi.
L’application se targue d’être la seule à œuvrer avec insistance pour être en conformité avec la loi. « Roby est à ce jour la seule application ayant obtenu l’autorisation d’exercer à Marrakech. À Casablanca, l’autorisation devrait tomber incessamment. De plus, l’entreprise a décroché l’agrément de la CNDP sur la protection des données personnelles, faisant d’elle la seule sur le marché à avoir rempli cette condition », avance Yann Blay, fondateur de Roby.
Pour réussir son pari de recruter le maximum de chauffeurs de taxi et de faire monter en gamme leurs services, Roby a misé sur des leaders locaux dont le rôle est déterminant dans son approche. « Notre objectif est d’atteindre 150.000 chauffeurs de taxi sur les 240.000 actifs dans le Royaume dans les 5 prochaines années. Pour ce faire, Roby s’appuie sur son partenariat avec ces leaders reconnus dans chaque ville. Ceux-ci cooptent leurs collègues, valident leur candidature et garantissent leur sérieux dans l’exercice de leur métier », explique Yann Blay.
La start up marocaine organise à cet effet des sessions de formation destinées aux chauffeurs de taxi pour l’amélioration de leur service. « Nous avons tenu à ce jour une dizaine de sessions de formation à Marrakech et à Casablanca qui ont réuni à chaque fois 50 à 100 personnes. Ces formations sont assurées par les associés de Roby eux-mêmes et portent sur l’utilisation de l’application ainsi que l’aspect comportemental, la relation avec le client, l’accueil, l’hygiène du véhicule, … », déclare Yann Blay. Et d’ajouter, « De plus, Roby a une forte vocation sociale dans la mesure où il remet le chauffeur de taxi au cœur de son business et l’incite à relever le niveau de service aux clients. Nous voulons réconcilier le Marocain et le touriste avec le taxi ». En attendant, la start up marocaine veut atteindre rapidement une population de 20.000 chauffeurs de taxi afin de leur donner le poids nécessaire pour négocier une couverture maladie et accident de travail favorable en tant qu’indépendants.
Suivant son calendrier, Roby compte se déployer durant ce deuxième trimestre dans les régions de Rabat-Salé-Kénitra et de Tanger-Tétouan-Al Hoceima, dans la région de Fès-Meknès au cours du troisième trimestre, puis Safi-Essaouira et Agadir durant le 4ème trimestre.
Par L’observateur
10, Mai 2019