FestivalFestival national du cinéma du Sahara : douze films en compétition
Festival national du cinéma du Sahara : douze films en compétitionFESTIVAL
Festival national du cinéma du Sahara : douze films en compétition
2M.ma2M.ma 26/10/2018 à 19:15
Le Festival national du cinéma du Sahara est de retour du 25 au 28 octobre 2018 à Assa. Cette 6ème édition sera placée sous le thème “Le Sahara: Quel message transmis à travers l’audio et l’image?”.
Douze films seront en lice pour remporter le Grand Prix et le Prix du jury de l’édition 2018 de ce festival. Le jury de cette édition sera présidé par le réalisateur marocain Abderrahman Tazi, le producteur et chercheur Abdessalem Meftahi, de l’universitaire et scénographe, Majdouline El Alami, du scénariste Ali Dah, ainsi que de la chercheure Izana Boughrass.
Au menu de cette manifestation cinématographique, figure la projection des documentaires hassanis autour de l’histoire et de la géographie de la région et l’organisation des activités culturelles parallèles dans plusieurs communes territoriales d’Assa. Mais aussi les organisateurs de cette édition proposent l’organisation d’un séminaire international sur “Le cinéma du Sahara”, des rencontres avec les professionnels dans la région, outre une exposition de peinture et des séances de signature et de présentation d’un nombre d’ouvrages.
Pour rappel, le court-métrage amazigh « Akhnif Abrbach » de la réalisatrice Noura Azeroual avait remporté le Grand prix de la précédente édition du festival national du cinéma du Sahara.

LE SITEINFO – 22 Octobre 2018 À 20 H 57
Le roi Mohammed VI a présidé, ce lundi à la place “Riad El Aârous” à Marrakech, la cérémonie de présentation des mesures prises pour la réalisation des projets inscrits dans le cadre du programme de valorisation de l’ancienne médina de Marrakech, ainsi que les programmes de réhabilitation et de mise en valeur des médinas de Salé, Meknès, Tétouan et Essaouira.
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Voici les quatre conventions cadre signées devant le Souverain à cette occasion:
La première convention cadre est relative au programme de réhabilitation et de mise en valeur de la Médina de Salé. Elle a été signée par Abdelouafi Laftit, ministre de l’Intérieur, Ahmed Toufiq, ministre des Habous et des Affaires islamiques, Abdelahad Fassi Fihri, ministre de l’Aménagement du territoire national, de l’Urbanisme, de l’Habitat et de la Politique de la ville, Saaid Amzazi, ministre de l’Education nationale, de la Formation professionnelle, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Mohamed Sajid, ministre du Tourisme, du Transport aérien, de l’Artisanat et de l’Economie sociale, Rachid Talbi Alami, ministre de la Jeunesse et des Sports, et Mohamed Laaraj, ministre de la Culture et de la Communication.
Elle a également été signée par Abdelouahed Kabbaj, président du directoire du Fonds Hassan II pour le développement économique et social, Mohamed Mhidia, wali de la région de Rabat-Salé-Kénitra, Abdessamad Sekkal, président du conseil régional de Rabat-Salé-Kénitra, Abderhmane Ben Ali, gouverneur de la préfecture de Salé, Hammani Amehzoune, président du conseil préfectoral de Salé, Jamaa Mouaatassim, président de la commune de Salé, et Abderahmane Ifrassen, directeur général de la société Rabat Région Aménagements.
La deuxième convention cadre, relative au programme de réhabilitation et de mise en valeur de la Médina de Meknès, a été signée par Abdelouafi Laftit, Ahmed Toufiq, Abdelahad Fassi Fihri, Mohamed Sajid, Rachid Talbi Alami, et Mohamed Laaraj.
Elle a également été signée par Abdelouahed Kabbaj, Essaid Zniber, wali de la région de Fès-Meknès, Mhaned Laenser, président du conseil régional de Fès-Meknès, Abdelghani Sabbar, gouverneur de la préfecture de Meknès, Thami Lahgui, président du conseil préfectoral de Meknès, Abdellah Bouanou, président de la commune de Meknès, Raouf Mohamed Al Ismaili, président de la commune Méchouar Stinia, et Fouad Serghini, directeur général de l’Agence pour le développement et la réhabilitation de la ville de Fès.
La troisième convention cadre, relative au programme complémentaire de mise en valeur de la Médina de Tétouan, a été signée par Abdelouafi Laftit, Ahmed Toufiq, Abdelahad Fassi Fihri, Mohamed Sajid, Rachid Talbi Alami, et Mohamed Laaraj.
Elle a aussi été signée par Abdelouahed Kabbaj, Mohamed Yaacoubi, wali de la région de Tanger-Tétouan-Al Hoceima, Ilyas Omari, président du conseil régional de Tanger-Tétouan-Al Hoceima, Younes Tazi, gouverneur de la province de Tétouan, Larbi Al Matni, président du conseil provincial de Tétouan, Noureddine Al Harouchi, 1er vice-président de la commune de Tétouan, et Mounir Bouyousfi, directeur général de l’Agence pour la promotion et le développement du Nord.
La quatrième convention cadre est relative au programme complémentaire de réhabilitation et de mise en valeur de la Médina d’Essaouira. Elle a été signée par Abdelouafi Laftit, Ahmed Toufiq, Abdelahad Fassi Fihri, Mohamed Sajid, Rachid Talbi Alami, et Mohamed Laaraj, Abdelouahed Kabbaj, Karim Kassi Lahlou, wali de la région de Marrakech-Safi, Ahmed Akhchichine, président du conseil régional de Marrakech-Safi, Adil El Maliki, gouverneur de la province d’Essaouira, Hicham Jebbari, président de la commune d’Essaouira, et Badr Kannouni, président du directoire du Holding Al Omrane.
Lire aussi: Le roi Mohammed VI a présidé une importante cérémonie à Marrakech
S.L. (avec MAP)
STYLES
Fès accueille son premier Salon du Mariage
LE 26 OCTOBRE 2018
Le Fès Marriott Jnane Palace accueille du 26 au 28 octobre le premier Salon du Mariage organisé dans la capitale spirituelle du Maroc.
Au sein du centre de conférences de l’hôtel 5 étoiles, cerné par un parc verdoyant et à deux pas des grands monuments de la capitale spirituelle du Maroc, le Salon du Mariage s’annonce comme l’un des temps forts de la programmation événementielle de cette fin de mois.
Au programme de cette première édition : des rencontres entre le grand public et les professionnels du secteur, une célébration du mariage fassi et des conférences sur tous les sujets liés aux couples.
Des congés illimités, vous en rêvez ? Ces entreprises l’ont fait (et ça marche !)
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BOULOT – Les congés illimités, vous en rêvez ? C’est une réalité dans certaines entreprises françaises. Sur quel principe repose ce système ? On vous explique tout.
24 oct. 14:14 – LCI
Il fait gris, vous avez envie de soleil ? Et pourquoi ne pas partir en vacances ? Vous avez déjà pris vos 5 semaines (ou plus selon votre convention collective) réglementaires ? Et bien partez quand même, vous n’avez pas besoin de compter… Que pensez-vous d’un monde du travail où les congés seraient illimités ?
Ce concept, qui fait rêver sur le papier, existe déjà dans certaines entreprises. Il arrive tout droit des Etats-Unis où il est pratiqué par de grosses entreprises comme Virgin ou Netflix. Et il débarque en France depuis peu. Comment est-il appliqué ? Les salariés ont-ils vraiment droit à prendre autant de vacances qu’ils le souhaitent ? Est-ce que cela conduit à des abus ?
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Quatre jours de travail et des week-ends de trois jours, vous en rêviez ? Cette société l’a fait !
Chez Indeed, un moteur de recherche d’offres d’emplois, la décision a été prise par la direction au niveau mondial, puis mise en application petit à petit dans les bureaux. L’antenne française pratique ainsi les congés illimités depuis le 1er janvier 2016, les salariés peuvent donc choisir de prendre autant de congés qu’ils le souhaitent.
Et le bilan montre (curieusement ?) qu’aucun excès n’a été enregistré et qu’Indeed France n’a pas frôlé la banqueroute : un an et demi après, certains salariés n’ont pas pris plus et se sont contentés de leurs cinq semaines de vacances réglementaires. D’autres en ont davantage profité, comme cette cadre qui a posé quatre semaines de plus. “Quand on est une maman, et qu’il y a des vacances toutes les sept semaines, le minimum légal, plus les RTT, c’est vite passé”, souligne-t-elle. Le directeur de l’agence parisienne, Charles Chantala, s’est, lui aussi, accordé trois semaines de plus : “C’est un désir de plus en plus fréquemment exprimé par les candidats et collaborateurs, d’être traités en adulte en quelque sorte”.
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Cette entreprise propose des vacances illimitées à ses salariés, mais est-ce légal ?
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Car c’est là-dessus que repose tout le système : responsabiliser le salarié, lui faire confiance, en lui définissant des objectifs clairs à atteindre, et il doit tout faire pour y parvenir. C’est le seul critère d’appréciation du travail. Le collaborateur sait où il en est et gère ainsi son temps et voit dans quelle mesure il peut s’octroyer une pause, sans nuire au fonctionnement du service. Quand elle veut partir en vacances, Karine, assistante de direction, qui a pris trois semaines de plus cette année, met ainsi les bouchées doubles : “En échange, je vais rester plus tard à mon travail”, explique-t-elle. “J’essaie d’avancer sur toutes mes taches, pour que tout soit fait en temps et en heure.”
Une responsabilisation et un principe de confiance qui semblent donc fonctionner, les salariés ayant aussi à cœur de préserver ce modèle qui leur permet une plus grande souplesse dans la gestion de leur vie personnelle. Et permet aussi de déposer un jour au dernier moment, en cas d’imprévu avec un enfant ou un problème. Le concept n’est pas que réservé à l’univers branché des start-up, même s’il est sans doute plus facile à appliquer sur des petites structures avec une hiérarchie réduite.
Mais l’un des tous premiers précurseurs en France est Avinim, promoteur immobilier dans les Vosges. Et Martial Demange, le directeur, s’en félicite encore : “Ce que je constate, c’est qu’on continue à gagner de l’argent, on n’a pas eu de burn-out ou de maladie, on n’a pas eu de départ.” La solution pour lutter contre le présentéisme ?
Hugh Grant lui-même annonce une suite pour Quatre mariages et un enterrement !
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Quand on vous dit que 2019 c’est l’année des revivals ! Et en voilà un qui risque de faire plaisir à plus d’un car « Quatre mariages et un enterrement », c’est LE film culte par excellence ! Alors quand Hugh Grant en personne annonce une suite…
Quatre mariages et un enterrement, un film culte
Toujours imitée, jamais égalée, cette comédie romantique est la première en son genre et donne son nom au fameux style qui s’ensuivra. Même Bridget Jones n’a pas fait mieux ! Produit il y a 24 ans par Mike Newel, « Quatre mariages et un enterrement » obtient d’ailleurs le césar du meilleur film étranger en 1995.
Et selon le réalisateur, c’est entièrement grâce à Richard Curtis (l’auteur) qui a su apporter une pointe de drama dans ce joyeux bazar. Car pour Mike Newel, le scénario était trop drôle : « le problème avec le scénario, si j’ose dire, c’est qu’il est trop drôle. L’humour ne laissait place à aucune émotion. J’ai donc demandé à son auteur de le remanier afin d’y introduire quelques éléments dramatiques qui lui donneraient une plus grande profondeur humaine ».
« Je pense qu’on va faire une mini-suite à Quatre mariages et un enterrement pour Comic Relief. Ça semble être un bon plan »
Une suite possible à « Quatre mariages et un enterrement » annoncée par Hugh Grant
La suite, on la connaît, c’est un véritable carton qui 24 ans après, ne prend pas une ride. Et puisqu’on parle de suite, il se pourrait bien qu’on remette ça. En effet, lors d’une conférence de presse pour sa nouvelle série A very English Scandal, le séduisant Hugh Grant déclare qu’un court métrage est en projet. « Je pense qu’on va faire une mini-suite à Quatre mariages et un enterrement pour Comic Relief. Ça semble être un bon plan ».
Richard Curtis étant également le cofondateur de l’association Comic Relief, il faudrait donc s’attendre à voir débarquer une mini-suite de ce fameux best-seller dans les prochains mois. Pour le moment, aucune info sur les acteurs. Mais on demande expressément à ce qu’Andy MacDowell, James Fleet, John Hannah, Kristin Scott Thomas et Rowan Atkinson soient de retour !
Publié par Claire le 24 Oct 2018
Black Friday : quand et à quelle heure faire ses bonnes affaires ?
Black Friday : un concept qui séduit de plus en plus
Le Black Friday est le rendez-vous incontournable des consommateurs en quête de bonnes affaires. Il a lieu chaque fin d’année, juste avant Noël. L’occasion d’anticiper les cadeaux tout en faisant des économies. Quatre ans après son arrivée en France, le Black Friday a déjà séduit de nombreuses enseignes. Car oui, c’est le moment idéal pour faire gonfler le chiffre d’affaire. Mais ce sont aussi les acheteurs qui en profitent. Au programme : des promotions imbattables, allant parfois jusqu’à -90%. A l’arrivée des fêtes de fin d’année, c’est le moment où jamais de faire ses emplettes.
Les dates à retenir
Généralement, le Black Friday a lieu au mois de novembre. Cette année, le rendez-vous est fixé au 23 novembre. Les offres débutent déjà depuis très tôt le matin sur Internet. La plupart apparaissent vers 7 heures. Prévoyez donc une alarme pour ne pas manquer les plus beaux rabais. Mais vous retrouverez quand même d’incroyables bons plans tout le long de la journée. Et pour ceux qui n’auront peut-être pas le temps le jour J, sachez que le Black Friday continue jusqu’au lundi suivant. Ce sera le Cyber Monday. Dans le même principe, les acheteurs pourront trouver leur bonheur sur Internet. Le Cyber Monday aura donc lieu le 26 novembre.