Riad Dar Khmissa Marrakech
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octobre 11, 2018

Un centre de football dernière génération ouvre ses portes

Marrakech : Un centre de football dernière génération ouvre ses portes

Un nouveau centre de football Master Foot a ouvert ses portes à seulement 10 minutes du centre-ville de Marrakech. Composé de 5 terrains Foot 5 et 3 terrains Foot 7, le centre propose un système de jeu dernière génération certifié par Labo Sport, laboratoire de renommée mondiale agrée par la FIFA.

Construit sur une plateforme surélevée assurant une vue imprenable sur les montagnes de l’Atlas, les terrains Master Foot sont dotés d’un gazon de troisième génération testé sous UV et dont les résultats sont étudiés pour reproduire la sensation d’un terrain de gazon naturel. Dotés d’un remplissage cryogénique ultra fin, ces terrains sont parfaitement étudiés pour la vitesse du jeu. En prime, le club met à disposition des joueurs une ambiance sound game, un système composé de jeux de sons et lumières destiné à recréer la magie des grands matchs.

« Notre mission est d’offrir des terrains dignes d’entrainement professionnel dans un cadre authentique à seulement 10 minutes du centre-ville de Marrakech. » déclare Ghali Drissi Daoudi, Directeur des Opérations. À partir de 300 dhs par heure, les terrains sont disponibles en location de 07h00 à 01h00 en continue et peuvent accueillir jusqu’à 100 matchs par jour.

Pour compléter son offre, le centre Master Foot est doté de vestiaires spacieux et sécurisés ainsi qu’un Club House où visionner les grands matchs autour de boissons rafraichissantes. Disposant d’une terrasse rooftop de 450 m2, le centre propose également de vastes espaces en location destinés à accueillir des évènements sur-mesure, séances de team buildings et tournois d’entreprises.

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octobre 11, 2018

LES JARDINS DE MARRAKECH

LES JARDINS DE MARRAKECH
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Historiques ou privés, au coeur de la ville ou à l’extérieur, les jardins de Marrakech ne datent pas d’hier. Véritable tradition depuis l’époque des Almohades, au XIIe siècle, ils comptent encore aujourd’hui parmi les plus beaux du monde magrébo-andalou.

Le plus impérial : La Ménara
Après la Koutoubia, le bassin de la Ménara qui a fait la légende du jardin de la Ménara, ancienne propriété des sultans de Marrakech. Moins vaste que l’Agdal d’une dizaine d’hectares, ce parc créé au 13e siècle est essentiellement planté d’oliviers mais également de palmiers et de cyprès. Entre les arbres, on aperçoit un petit pavillon saâdien de la fin du 19e siècle à la toiture verte, le menzeh, qui se reflète dans le bassin entouré d’un chenal alimenté par l’eau des neiges de l’Atlas. L’opulence de l’Agdal et de la Ménara tient à l’eau qui a transformé le désert en jardins. Pour exister, ces vergers royaux devaient disposer de ressources hydrauliques suffisantes.Première solution : l’exploitation des nappes phréatiques grâce à des galeries drainantes suffisantes. C’est ainsi queles premières khettaras furent créées au 11e siècle par les Almoravides. Deuxième technique : construire une séguialongue de 25 kilomètres pour capter l’eau des oueds du Haut Atlas. Elle fut mise en place par les Almohades, au 13e siècle. La plus grande prouesse des architectes ? Avoirconçu un immense réservoir suspendu qui irrigue les jardins, alimente les seguias et les khettaras. Dès qu’une vanne est ouverte, c’est une rivière, guidée par la déclivité du sol, qui vient irriguer une par une chacune des parcelles.

Ouvert tous les jours de 6h à 18h. Entrée gratuite.

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Le plus ancien : L’Agdal
Le plus saisissant ? Les proportions grandioses du verger qui s’étend sur 400 hectares. Né au 12e siècle, ce jardin arabo-andalou jouxte le palais royal. Son coeur, parsemé d’une dizaine de parcelles, est peuplé d’espèces d’arbres «utiles» : oliviers pour plus de la moitié, agrumiers, grenadiers, pommiers, figuiers, abricotiers, pêchers, amandiers… Celle de l’orangeraie est placée près du bassin afin de profiter la première d’une eau rare et convoitée. Les carrés communiquent entre eux, séparés par une clôture bordée de jasmins, d’églantiers ou de myrte. A l’abri des douze kilomètres de murailles protégeant ces enclos, on cultivait autrefois la vigne, les céréales et des légumineuses. Comme des miroirs tournés vers le ciel, deux très vastes pièces d’eau presque carrées – 200 mètres de côté – parent le centre du jardin. Ces bassins servaient à l’irrigation mais étaient également le théâtre d’activités royales, ludiques ou guerrières telles l’entraînement à la natation pour les soldats de l’armée almohade qui se préparaient à traverser la Méditerranée pour conquérir l’Andalousie.

Ouvert uniquement les vendredis et dimanches de 7h à 13h. Entrée gratuite.

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Le plus connecté : Arsat Moulay Abdeslam
Ici, les bornes interactives multimédia, équipées des toutes dernières technologies s’épanouissent tout aussi bien que les arbres centenaires du parc. Etendu sur huit hectares au coeur de la nouvelle ville – entre le boulevard Mohammed V et les remparts -, ce jardin a été imaginé par le prince Moulay Abdeslam avant d’être agrandi au temps du protectorat dans les années 20. Restauré sous l’impulsion de la Fondation Mohammed VI pour l’environnement, il se veut résolument tourné vers les nouvelles technologies comme en témoignent les bornes interactives qui se succèdent le long des allées. Des allées sur lesquelles veillent palmiers, orangers, citronniers, oliviers, imperturbables face à cette toute nouvelle agitation technologique.

A voir : le musée des télécoms, à l’entrée du parc. Ouvert tous les jours de 9h à 18h30.

Le plus historique : Le Palais Badi
De ce somptueux palais érigé à la fin du 16e siècle ne reste qu’une immense esplanade creusée de bassins, plantée d’orangers, et entourée de hautes murailles sur lesquelles nichent les cigognes. En son coeur, une vaste pièce d’eau bordée de deux parterres d’orangers disposés en quinconce. A l’est, le palais ouvre sur un grand jardin, arsat Al Jaj, du nom du pavillon qui le domine. L’imagination permet de restituer le raffinement et le faste des aménagements botaniques d’autrefois : végétation variée et luxuriante, volupté des senteurs, plantations fleuries… Le palais et ses jardins furent dévastés et dépouillés de tous leurs ornements à partir de 1677. Mais malgré les dommages subis, ces jardins restent un modèle incontesté du raffinement arabo-andalou.

Ouvert tous les jours de 8h à 17h – Entrée : 20 Dh

Le plus traditionnel : Le Palais Bahia
mme-56-print-1-119Il aura fallu sept ans, et sa fortune entière, au grand vizir du Sultan, Ahmed Ibn Moussa, pour ériger ce palais – et donner naissance à ce bel écrin de verdure. Commencée en 1894, sa construction se fit sans plan préétabli. Composé d’un dédale de salles, d’une série de riads, de cours intérieures le palais Bahia offre aux visiteurs un bel aperçu de l’architecture arabe. Cette succession désordonnée de luxueux appartements d’influence andalouse parés de stucs, de bois peints, de moucharabieh, de marbre et de riches zelliges ouvrent sur des patios fleuris et arborés. Soit 8 hectares de quiétude entre grands arbres feuillus, palmiers dattiers, hibiscus, citronniers et orangers, irrigués par un système de khettaras. C’est ici, au temps du Protectorat, que le maréchal Lyautey prit ses quartiers. Quelques années plus tard, en 1964, Henri Verneil et Michel Audiard y tournèrent « Cent mille dollars au soleil ». Voici comment, dans ces jardins, vous foulerez les pas de Lino Ventura et de Jean-Paul Belmondo…

Ouvert tous les jours de 9h à 16h30 – Entrée : 10 Dh. 5 Rue Riad Zitoun el Jdid – Médina

mme-56-print-1-116L’incontournable : Le Jardin Majorelle
On ne peut évoquer les jardins de Marrakech sans parler de Majorelle. Depuis son ouverture au grand public en 2001 – grâce à Pierre Bergé et Yves Saint Laurent qui le sauvent alors d’un projet immobilier -, des milliers de touristes s’y pressent tous les jours. Arrivé à Marrakech en 1917, Jacques Majorelle, peintre orientaliste et grand amateur de botanique exotique, fait construire une imposante villa de style mauresque, nommé « Bousafsaf » (les peupliers), autour de laquelle il plante des essences rares. Sa recette est simple : acclimater des arbres et des plantes qui ont traversé frontières et océans pour venir éclore dans cet espace unique en son genre. Cette idée originale a fait de Majorelle le collectionneur de plantes le plus passionné de son époque : 1 800 sortes de cactées, de fleurs tropicales, de bananiers, de fougères géantes et 400 variétés de palmiers envahissent l’espace sur quatre hectares. Les murs vibrent d’un bleu cobalt métallique et dur dont l’artiste a peint escaliers, bordures, bancs, pots de fleurs et pergolas ; ce « bleu Majorelle » intense s’impose avec une audace presque violente et met pourtant en scène le jardin d’une manière incomparable. A voir également : le musée berbère. Ouvert en septembre 2011, c’est le premier musée du Maroc exclusivement consacré à l’art berbère.

Ouvert tous les jours, de 8h à 18h. Entrée au jardin : 70 Dh – Entrée au musée : 30 Dh. Rue Yves Saint Laurent – 05 24 31 30 47

Le plus bio : Jardin bio-aromatique d’Ourika
A l’origine de ce beau projet, deux frères : Jalil et Abdelfattah Belkamel. L’un est phyto-aromathérapeute, le second pharmacien. Tous deux partagent la même passion et la même spécialité : les huiles essentielles. Leur jardin, à une trentaine de kilomètres de Marrakech, ils l’ont imaginé tel un espace de rencontres autour de plantes aromatiques et médicinales qui se racontent et qui racontent la région. Perché dans le Haut Atlas à 840 mètres d’altitude, il propose une multitude d’activités pour nous sensibiliser aux intérêts des plantes et de leurs extraits, que ce soit dans le domaine de la beauté, de la santé ou dans l’assiette. Les plus coquettes opteront pour l’atelier beauté berbère – soin du visage et des ongles ou soin des mains et des pieds à base des produits Nectarom ( 200 Dh les 30 mn) – ou pour l’atelier henné (préparation et pose de henné, 70 Dh l’heure et demi) ; les plus gourmandes pour l’atelier pain – préparation à base d’orge mélangé à des graines de nigelle ou à base de blé mélangé à des graines d’anis, suivie d’une dégustation de pain avec différentes huiles locales pressées dans le jardin (60 Dh l’heure d’atelier) ou l’atelier gastronomique (cours de cuisine traditionnelle, 300 Dh les deux heures). Pour les plus paresseuses, une autre option : prendre un bain de pieds, réalisé à partir de sels de bain aromatisés à l’huile essentielle de bigaradier, tout en sirotant une tisane aux huit plantes bio du jardin (80 Dh les 20 mn) !

Visite libre : 20 Dh. Visite guidée : 70 Dh. Ouvert 9h à 17h.

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Le plus piquant : Musée de la Palmeraie
Ouvert en 2011, le musée rassemble une grande collection d’art contemporain cherchant à rendre compte de l’évolution de la production artistique au Maroc. Les trois salles d’exposition, aménagées dans d’anciens bâtiments agricoles en pisé, ouvrent sur deux hectares de jardins – jardin sec, jardin andalou et jardin d’eau flanqué de deux kiosques où prendre un thé à l’ombre d’une végétation foisonnante – qui donnent à voir un peu de ce génie de la cité-jardin si particulier à la ville de Marrakech. Les portes monumentales en bois sculpté de la grande salle du Dôme s’ouvrent sur la perspective d’un long bassin aux abords plantés d’orangers et de rosiers parfumés. Notre espace préféré ? Le jardin sec planté d’immenses cactées qui camouflent, au fond, une jolie maisonnette de terre.

Ouvert tous les jours de 9 h à 18 h. Entrée : 40 Dh. Dar Tounsi – Route de Fès, en face de Metro – 06 61 09 53 52

Et nos dernières découvertes…
Anima
Il fallait bien un esprit hors du commun pour imaginer un tel jardin… Sur plus de deux hectares, André Heller s’est amusé à mettre en scène cactées et statue de Keith Haring, bambous et assiettes signées Picasso, palmiers et penseur de Rodin… Une oasis de verdure quelque peu surprenante. Lisez notre article sur le Jardin Anima…

Le Jardin secret
Nul ne pourrait imaginer ce qui se cache derrière ce mur de la rue Mouassine, en plein coeur de la médina. Passées les portes, c’est un jardin de plusieurs milliers de mètres carrés que vous découvrirez. Lisez notre article sur le jardin secret…

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octobre 11, 2018

CARTE BLANCHE À HASSAN HAJJAJ

CARTE BLANCHE À HASSAN HAJJAJ
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Le Comptoir des Mines – cet immeuble Art déco transformé en galerie d’art par la CMOOA – donne carte blanche à Hassan Hajjaj. C’est tout un appartement que l’artiste s’est approprié autour d’un projet intitulé « Mi Casa Su Casa ».

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Au coeur du Guéliz, la galerie-boutique de Hassan Hajjaj a été imaginée tel un vrai appartement dans lequel on peut cuisiner, dormir, travailler, prendre le thé… Fidèle à son univers artistique de détournement des images de la société de consommation, l’artiste nous offre de nous asseoir sur des banquettes / caisses Coca Cola, de griffonner sur un coin de table / panneau publicitaire pour les cafés Samar ou Gaouar, à la lumière d’une lanterne / boites de concentré de tomate Zakia… Ses créations post-modernes reflètent un regard critique plein de tendresse pour la culture populaire marocaine. Avec beaucoup d’humour et de fraîcheur, Hassan Hajjaj détourne ces images familières pour créer un underground cosmopolite dont il est très jeune familier.
Né à Larache en 1961, il émigre à Londres alors qu’il n’a que huit ans. L’adaptation est difficile. Il ne parle pas l’anglais. Bientôt, il abandonne sa scolarité pour enchaîner les petits boulots. Dans le bouillon de cultures urbaines de la City des années 1980, il tisse des liens avec le monde de la musique reggae, hip hop et world. Il touche à l’événementiel, organise des défilés de mode, fait du stylisme, de la promotion musicale, réalise des clips vidéos et des spots publicitaires, gère des clubs branchés, lance des labels… En 1984, il ouvre à Covent Garden une boutique de vêtements, RAP, où aux côtés de modèles signés Vivienne Westwood et John Galliano, il expose ses premières créations – déjà du streetwear, customisé Gucci, Vuitton ou Chanel. En 1993, après dix-huit ans d’absence, il revient au Maroc. C’est un retour aux sources. Initié depuis quelque temps à la photographie, il y multiplie les prises de vues – dont de premiers portraits inspirés de l’univers de la mode. Il se met ensuite à utiliser les matériaux recyclés (pneus, sacs de farine, emballages de piles et de pains de sucre, canettes de Coca Cola, bouillons Knor, boites d’allumettes, conserves Aïcha) pour concevoir des objets de consommation courante : du mobilier, des vêtements, des accessoires… Créateur fantasque épris d’hybridité, en associant aux produits de grande consommation (farine, gaz, allumettes), les logos des marques mythiques (Vuitton ou Chanel), il fait plus que parodier des objets mythiques et mettre en scène les interactions sociales qui témoignent de la mondialisation : il démocratise le luxe et glamourise la rue.
Aujourd’hui, ses photos se vendent plusieurs dizaines de milliers d’euros. Il collabore avec de grandes marques – Reebok cette année-, expose dans le monde entier – dernièrement chez Colette, juste avant sa fermeture. Son approche reste pourtant pleine d’humilité et d’empathie pour la culture populaire. Son espace, il l’a également ouvert à cinq autres photographes : Nour Eddine Tilsaghani, Yorias, Rachid Ouettassi, Abdelghafour Benbadryef et Meriem Houguia. A découvrir au Comptoir des Mines sans plus tarder !

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Ouvert du mardi au samedi de 15h à 19h.
Le lundi de 15h à 19h. Fermé le dimanche.

Comptoir des Mines

Rue de Yougoslavie

Guéliz

07 70 85 42 52 / 06 63 01 01 91

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octobre 11, 2018

POP UP AU BELDI

POP UP AU BELDI
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Réunir des créateurs tout un mois durant dans les magnifiques jardins du Beldi Country Club… C’est du 6 décembre au 8 janvier ! Craquage shopping garanti.

Quelle heureuse idée que de rassembler nos boutiques préférées dans un seul et même lieu ! Et quel lieu… La réputation des jardins du Beldi Country Club et de sa roseraie à perte de vue n’est plus à faire. C’est donc ici, plus précisément du côté du petit souk que vous pourrez venir shopper un magnifique bijoux serti de pierres précieuses, une étole en cachemire ou une robe en velours précieux signés Michèle Baconnier, un sac clouté Maroc’n Roll, un livre des éditions Sarrazine & Co ou ACR, un parfum d’intérieur Héritage Berbère, un vieux meuble Magasin Général, une petite tunique pour enfant de chez OWL, une photographie de Sylvie Yvert, un manteau multicolore Topolina, une chemise Choukran, des confitures, de l’huile d’argan… C’est également l’occasion de redécouvrir les créateurs présents en permanence au Souk by Beldi : Chabi Chic – vaisselle de grand-mère revisitée, ustensiles de cuisine à l’ancienne, huiles et épices joliment emballées, pochettes humoristiques, bougies parfumées, paniers en osier et en cuir, pochettes en boucharouate, babouches tissées -, les Verres Beldi soufflés à la bouche dans l’usine mitoyenne, les poteries de l’atelier, le linge de maison brodé par des femmes de la région, la grande collection de tapis pour réchauffer notre intérieur…
Grande nouveauté : le chef pâtissier Florian Lavaut s’installe au coeur du petit souk – et de façon définitive – pour assouvir nos envies gourmandes. On craque pour ses éclairs déclinés en huit parfums : menthe citron, rose framboise, corne de gazelle, thé à la menthe, chbakia, orange canelle et amlou. Les plus gourmandes opteront pour le service à emporter (valable également pour une grande variété de pâtisseries marocaines). En attendant, on en profite, devant un thé ou un jus de fruit frais. Et on se demande si la hotte du Père-Noël sera assez grande pour contenir toutes ces merveilles…

The Souk by Beldi
Beldi Country Club
Km 6, route du barrage, Cherifia
05 24 38 39 50

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octobre 11, 2018

NOUVELLE TABLE : +61

NOUVELLE TABLE : +61
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Qu’il est mignon ce petit restaurant avec ses couleurs tendres… Mais c’est par la carte que vous allez vous faire surprendre. Dans vos assiettes, de vraies saveurs comme on en goûte que trop rarement !

Le seuil passé, on craque pour la déco girly, la blancheur de la salle, les quelques touches de vieux roses et de verts clairs, les luminaires en cuivre à l’esprit 70… A l’origine de ce projet : Cassy, une Australienne (d’où le nom, +61, indicatif téléphonique de l’Australie) qui avait envie de retrouver à Marrakech la cuisine de sa terre natale. Une cuisine de saison où la qualité du produit fait toute la différence. Associée à Sébastien du Nomad café – dont la réputation n’est plus à faire -, ils ont recruté un chef australien pour donner naissance à ces plats si riches en saveurs.
A la carte : Grissini noix de cajou amalou, sepia céleri citron préservé, burrata poivrons rôtis olives, côtes d’agneau balsamique romarin, mallorredus palourdes calamars chili pangrattato, entrecôtes rôties à feu bas, coquelet courgette maïs doux… Attention, les
accompagnements changent très régulièrement en fonction des saisons et surtout des arrivages. Pour finir : gâteau de polenta pêches crème au gingembre, panacotta de ricotta caramel d’expresso, tarte aux prunes et aux figues frangipane… Côté prix, comptez entre 30 et 110 Dh pour les entrées, de 80 à 130 Dh pour les plats et 70 Dh pour les desserts.
Pour le moment, le +61 n’est ouvert que pour le déjeuner. D’ici quelques semaines, on devrait également pouvoir y dîner et surtout goûter à une carte de cocktails assez exceptionnels, accompagnés de jolies assiettes à partager.

+61
96 rue Mohamed El Beqal
Guéliz
05 24 20 70 20

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octobre 11, 2018

LES MAROCAINS PAR LEILA ALAOUI

LES MAROCAINS PAR LEILA ALAOUI
Tamesloth, 2011
« Leila Alaoui faisait partie de ces gens engagés qui n’hésitent pas à parcourir le monde pour venir au secours des autres, pour témoigner, et c’est là ce qu’elle a fait de plus beau. Ses convictions étaient profondes. La manière dont elle a disparu justifie le combat que j’ai mené toute ma vie pour la tolérance. « Quand je cesserai de m’indigner, j’aurai commencé ma vieillesse » : c’est à André Gide que je pense, lorsque je me souviens de Leila Alaoui*» disait d’elle Pierre Bergé. Leila a succombé à ses blessures le 15 janvier 2016 lors d’un attentat à Ouagadougou. « Les Marocains » est l’un de ses derniers projets. Au sujet de cette série, Leila expliquait : « puisant dans mon propre héritage, j’ai séjourné au sein de diverses communautés et utilisé le filtre de ma position intime de Marocaine de naissance pour révéler, dans ces portraits, la subjectivité des personnes que j’ai photographiées ». Cette exposition présentée au Musée Yves Saint Laurent est l’occasion de voir une trentaine de portraits de «Marocains», dont certains inédits.

Melloussa, 2010

Musée Yves Saint Laurent
Entrée gratuite.
Jusqu’au 5 février 2019

*Extrait du discours prononcé par Pierre Bergé à l’occasion de la remise à Leila Alaoui, à titre posthume, de l’insigne de Commandeur de l’Ordre des Arts et des Lettres, le 14 avril 2017 à Marrakech.

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