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octobre 1, 2018

NEW YORK TIMES : MARRAKECH DESTINATION MONDIALE DU TOURISME DE LUXE

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NEW YORK TIMES : MARRAKECH DESTINATION MONDIALE DU TOURISME DE LUXE

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Écrit par H.K (avec MAP) Publication : 30 août 2018 Affichages : 2948

 

Le quotidien américain New York Times passe en revue, dans son édition de mercredi, les efforts déployés et les projets immobiliers haut de gamme en cours à Marrakech, destinés à consacrer la cité ocre comme destination mondiale du tourisme de luxe.

 

Dans un article sous le titre «Un boom de l’immobilier pour attirer les visiteurs dans la «cité ocre du Maroc»», le quotidien écrit qu’alors que de plus en plus de touristes affluent au Maroc, Marrakech se réinvente avec des hôtels de luxe et des centres de villégiature pour attirer sa part de visiteurs.

Plus de 11 millions de personnes ont visité le Maroc en 2017, soit une augmentation de 10% par rapport à l’année précédente, rapporte le journal, citant le ministère marocain du Tourisme, précisant que le nombre de visiteurs américains a augmenté à un rythme encore plus rapide. L’année dernière, plus de 254.000 Américains ont visité le pays, en hausse de 29% par rapport à 2016 et de 81% par rapport à 2012.

Marrakech a longtemps été une échappatoire de week-end pour les Marocains, mais un afflux de visiteurs internationaux a aidé à stimuler le boom de la construction haut de gamme et à attirer l’attention mondiale sur la «cité ocre», écrit le quotidien international, rappelant que début août, la chanteuse Madonna a fêté son 60e anniversaire à Marrakech et documenté cet événement sur Twitter.

«L’un des principaux défis du secteur du tourisme à Marrakech est d’augmenter la durée du séjour», actuellement de 3 jours en moyenne, a déclaré, au journal, Alexis Reynaud, responsable éditorial au sein du cabinet de conseil, Oxford Business Group, ajoutant que «les nouveaux hôtels et centres de villégiature haut de gamme commencent à offrir beaucoup plus qu’un simple hébergement de luxe pour encourager les gens à rester plus longtemps».

En tête de ce peloton, se trouve, la «M Avenue», un projet polyvalent de 100 millions de dollars connu sous le nom de Garden Avenue, puisqu’il comprendra plus de 10.000 m² de jardins et d’espaces paysagers, ainsi que plus de 17.000 m² de boutiques, de restaurants, de cafés et de galeries, tandis que l’hébergement comprendra un hôtel de 168 chambres du groupe portugais Pestana et 88 résidences privées du Four Seasons, relève le quotidien new-yorkais.

«Nous essayons de créer un nouveau centre-ville», a déclaré au journal Nabil Slitine, directeur général de M Avenue Development, notant que l’ouverture de ce projet est prévue pour 2019.

À proximité, ajoute le quotidien, un hôtel «W» est en construction, un hôtel «Ritz-Carlton» devrait ouvrir ses portes en 2022 et un hôtel «Park Hyatt» sera construit dans le cadre d’un complexe de golf et de commerce urbain de 450 millions de dollars connu sous le nom de «Marrakech Golf City». 

Les visiteurs d’affaires sont également de plus en plus nombreux, grâce à l’organisation de plus de conférences internationales telles que la COP22 en 2016, relève la publication, ajoutant que l’assouplissement de la réglementation des visas pour certains pays a également renforcé le tourisme, comme pour la Chine, dont les ressortissants ont été exemptés de visa en juin 2016. En 2017, 118.000 visiteurs sont venus de Chine, soit une hausse de 1 022% par rapport à 2015.

Marrakech s’impose également comme une destination d’art contemporain, souligne le quotidien, en passant en revue les différents musées qui y sont créés, comment le musée Yves Saint-Laurent.

“Les musées et l’art haut de gamme contribuent à attirer les voyageurs les plus riches”, a estimé Reynaud, ajoutant que “les touristes peuvent visiter des galeries et acheter de l’art à des prix raisonnables par rapport à Londres, New York et Paris”.

 

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septembre 14, 2018

Un “Zumbathon” au profit des actions de “Sourire de Reda”

CASABLANCA
Un “Zumbathon” au profit des actions de “Sourire de Reda”
Par Lepetitjournal Casablanca | Publié le 12/09/2018 à 12:35 | Mis à jour le 12/09/2018 à 12:56
Un “Zumbathon” au profit des actions de “Sourire de Reda”
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Pour la 3ème année consécutive, l’association “Sourire de Reda” organise le “Zumbathon”!

Une heure trente de Zumba en plein air, face à la mer, avec la merveilleuse Céline Jacq, formatrice Zumba, venue spécialement de France pour l’évènement, ainsi que de nombreux instructeurs Zumba du Maroc, ça vous tente ?

Qui plus est, vous ne transpirerez pas dans la bonne humeur pour rien, car au delà de ce moment convivial, vos efforts physiques iront tout droit au bénéfice des actions de l’association Sourire de Reda qui oeuvre en prévention du suicide chez les adolescents.

C’est ce dimanche 16 septembre de 11h00 à 12h30, à l’Atlantique Football Club de Casablanca (à côté du Boca Chica).

A propos de “Sourire de Reda”

“Il avait depuis toujours le sourire aux lèvres, jusqu’au 5 février 2009… Reda, 13 ans et demi se suicide”.

Son acte tragique a pour conséquences de révéler l’existence chez les jeunes de souffrances silencieuses et insoupçonnées pouvant s’exprimer de façon tragique par la violence envers eux-mêmes ou envers les autres et de lever le voile sur le suicide au Maroc.

C’est pourquoi l’association Sourire de Reda a choisi pour mission de venir en aide aux jeunes en souffrance et de prévenir les passages à l’acte de toutes natures (violence, harcèlement, addictions…), dont le suicide.

Parce que la souffrance fait partie de la vie, Sourire de Reda encourage chacun à développer sa capacité d’écoute pour soulager l’autre.

Les études prouvent que le fait de parler, d’être écouté, d’être informé et sensibilisé au danger de l’isolement, contribue à prévenir le pire.

Partager son désespoir, sa solitude, ses idées noires n’éveille pas de tentations comme certains peuvent le croire à tort. Bien au contraire, seul le silence peut tuer.

Pour les volontaires et dirigeants de l’association, un seul mot d’ordre : PREVENIR ET AIDER.

Plus d’infos :

http://www.sourire2reda.org

https://www.facebook.com/pg/Sourire-de-Reda

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septembre 14, 2018

L’Espagne préfère une candidature conjointe avec le Maroc, à une candidature individuelle (médias)

L’Espagne préfère une candidature conjointe avec le Maroc, à une candidature individuelle (médias)
Jeudi 13 septembre 2018 à 10h45
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L’Espagne préfère une candidature conjointe avec le Maroc, à une candidature individuelle (médias)

L’Espagne va présenter sa candidature à l’organisation de la Coupe du monde 2030 et sa préférence va à une candidature conjointe avec le Maroc et éventuellement le Portugal, annoncent des médias espagnols. Cette information confirme les révélations faites par Médias24 à ce sujet.

L’annonce de cette candidature a été faite mercredi 12 septembre 2018 à l’issue d’une réunion entre le président de la Fédération espagnole de football, Luis Rubiales, le chef du gouvernement espagnol, Pedro Sánchez, et le président de la FIFA, Gianni Infantino.

L’édition 2030 sera également celle du centenaire de la Coupe du monde de football. L’Uruguay et l’Argentine ont annoncé une candidature commune qui aura toutes ses chances grâce à sa charge symbolique. L’Uruguay est le premier pays à avoir organisé la Coupe du monde, c’était en 1930.

Plusieurs médias espagnols estiment que face à ce dossier, une candidature conjointe avec le Maroc (et éventuellement le Portugal comme troisième larron) aurait plus de chances d’aboutir qu’une candidature de la seule Espagne.

Le Maroc est également sollicité par des pays nord-africains, l’Algérie, la Tunisie et l’Egypte, pour une candidature conjointe.

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septembre 12, 2018

Le Maroc a élu son nouveau meilleur sommelier (REPORTAGE)

Le Maroc a élu son nouveau meilleur sommelier (REPORTAGE)
Il fera rayonner le savoir-faire marocain dans le monde.
Par Yasmine Bidar

ASMA
Abdelghafour Sadik, sommelier à La Mamounia depuis 2015, élu meilleur sommelier du Maroc.
ART DE VIVRE – Niché le long des contreforts de l’Atlas, le célèbre Château Roslane, premier château vitivinicole AOC au Maroc, a accueilli, lundi 10 septembre, la deuxième édition du Trophée Château Roslane du meilleur sommelier du Maroc, organisée par l’Association des sommeliers du Maroc (ASMA). Neuf jeunes chantres du vin ont pris part à une journée d’épreuves théoriques et techniques pour décrocher ce précieux titre, sous l’oeil aguerri d’un jury très sélect.

Ils sont marocains, exercent dans les plus prestigieux hôtels, palaces et restaurants du royaume, sont autodidactes ou encadrés par de grands sommeliers et sont animés par une passion du vin qu’ils ont renforcée au fil d’expériences et d’opportunités. Parmi eux, des finalistes malheureux de l’édition précédente qui se remettent en selle pour succéder à Zakaria Wahby, premier lauréat du concours et assistant chef sommelier au Royal Mansour à Marrakech. Mais aussi de nouveaux profils, jeunes et fougueux comme Kamil Essbai, sommelier de 24 ans en service au Sofitel Marrakech ou encore Sabrina Rahmani, superviseur du restaurant Iloli à Casablanca, première femme à participer à la compétition.

Vin, vedi, vici
Les candidats, tirés à quatre épingles et en rang d’oignons devant la salle des épreuves, ont tous conscience de la délicate mission que leur confèrera le statut de meilleur sommelier, soit positionner le Maroc parmi l’élite de la sommellerie internationale. Le stress est à son apogée mais pas d’animosité entre les compétiteurs qui s’entraident pour des révisions de dernière minute. Une fois la porte franchie, ils s’attarderont sur plusieurs épreuves écrites, à savoir un questionnaire théorique, une description organoleptique d’un vin rouge et d’un vin blanc et l’identification de trois spiritueux, tout cela en français, langue officielle de la compétition.

ASMA
“C’était rude, il y avait beaucoup de questions de culture générale très compliquées mais chacun a ses points forts et ses points faibles. Je préfère la pratique et j’espère faire mes preuves si je suis sélectionné pour la finale” nous confie Rabi Ahsina, sommelier au Fairmont Royal Palm de Marrakech et troisième finaliste de la précédente édition. Mais malgré ses efforts, il n’a pas été sélectionné pour la phase finale aux côtés de Abdelghafour Sadik de La Mamounia, El Mokhtar Alia du Royal Mansour et Kamil Essbai.

“On attend de vous que vous ayez cette classe, que vous représentiez la sommellerie” indique aux trois finalistes avant la très redoutée épreuve pratique Serge Dubs, meilleur sommelier de France, d’Europe et du monde dans les années 80 et membre du jury du Trophée.

ASMA
Michèle Chantôme, Serge Dubs et Thierry Collard, membres du jury en pleine correction des épreuves.
De retour dans la salle, ils se succèdent devant le jury et jouent le rôle de chef sommelier d’un restaurant en respectant le protocole inhérent à leur métier. Associations de vins aux mets d’une carte, service d’un vin pétillant, service d’un vin jeune en carafe, analyse de vins et spiritueux… Les finalistes, pleins de prestesse, s’agitent, font valser les liqueurs dans les verres, questionnent leur nez et leur palais et enchaînent des gestes techniques presque chorégraphiques.

Après de longues délibérations (et corrections), le verdict est tombé. C’est Abdelghafour Sadik, numéro deux de l’édition précédente, qui remporte avec succès les épreuves et devient ainsi le meilleur sommelier du Maroc. Le jeune homme a séduit le jury par son élégance naturelle, son odorat très fin et sa connaissance poussée des vins tant marocains qu’étrangers.

FACEBOOK/SOMMELIER DU MAROC
Abdelghafour Sadik, le meilleur sommelier du Maroc 2018 Trophée Château Roslane, entouré par Mr Serge Dubs, meilleur sommelier du monde 1989, parrain et président du jury, Michèle Chantome, présidente de l’association des sommeliers du Maroc et Mikael Rodriguez, chef sommelier de l’hôtel La Mamounia.
“Du point de vue de la religion, il est assez compliqué d’être sommelier ici”
Sommelier à La Mamounia à Marrakech depuis 2015, il découvre ce métier lors de ses services en salle à défaut d’avoir fait une formation en école, puisque le métier n’est pas reconnu ici. “J’ai découvert ma passion pour le vin lorsque j’ai commencé à travailler dans l’hôtellerie mais je ne pensais pas en faire un jour ma profession car c’est un métier qui n’est pas facile, avec beaucoup d’obstacles dont l’apprentissage qui n’est pas favorisé ici au Maroc où il n’existe pas d’écoles qui nous y forment” explique au HuffPost Maroc le lauréat.

“J’ai de la chance toutefois car je travaille à La Mamounia, sous les ordres de mon chef sommelier Mikael Rodriguez qui m’a beaucoup appris et qui était professeur de sommellerie en Europe et en France. Pour ce concours, j’ai appliqué strictement les règles que je suis dans mon métier au quotidien, et je pense que ça a plu au jury. Maintenant, avec ce titre, je dois être prêt pour représenter le Maroc comme il faut à l’international” poursuit-il, déterminé.

Il souligne par ailleurs les interdits religieux et les préjugés autour de ce métier qui rendent la tâche un peu plus ardue. “Du point de vue de la religion, il est assez compliqué d’être sommelier ici, et c’était aussi assez difficile de l’annoncer à ma famille car consommer de l’alcool, c’est déjà très mal vu alors en être un expert…” confie Abdelghafour, qui souhaite que le métier soit mieux compris au royaume et s’attèlera à en faire la promotion.

Faire rayonner le savoir-faire marocain
Une mission que se donne aussi l’ASMA, chapeautée par l’indéboulonnable Michèle Chantôme, figure du vin au Maroc, qui forme régulièrement dans ses locaux et sur le terrain des jeunes au métier de la sommellerie via des ateliers et des rencontres avec des oenologues et des sommeliers de renom.

Créée par en 2012 par ses soins, l’association a permis au royaume de se doter de la première union de sommeliers d’Afrique et d’intégrer l’élite de la sommellerie internationale qui compte pour l’heure une cinquantaine de pays. “Nous sommes ravis de voir que l’objectif de l’ASMA, qui est de faire connaitre le métier de sommelier au Maroc, est respecté. Nous souhaitons encourager davantage de passionnés à prendre part à notre concours, il y a des talents évidents dans ce pays qu’il faut mettre en lumière” nous explique-t-elle.

ASMA
Même son de cloche du côté de Mikael Rodriguez, chef sommelier de La Mamounia et mentor du gagnant de cette édition. “Certains candidats, comme Abdelghafour, ont la chance d’évoluer dans des établissements hôteliers où il y a une toute une équipe performante et reconnue de sommeliers qui peut les guider, tandis que d’autres doivent apprendre souvent seuls. C’est pour ça que l’ASMA existe, pour pouvoir permettre à ces jeunes autodidactes de se former auprès de professionnels pour comprendre l’histoire du vin, le service, le stockage, la vinification car leur potentiel est énorme. On essaye de leur apporter un peu de notre savoir et avec ce concours, on forme aussi des maîtres de demain, qui perpétueront l’apprentissage” avance-t-il.

Pour l’heure, son petit protégé est déjà prêt à assumer ses responsabilités de meilleur sommelier du Maroc et se dit déterminé à faire rayonner le savoir-faire marocain dans le monde. L’occasion lui sera d’ailleurs donnée en mars prochain à Anvers, au concours du meilleur sommelier d’Europe auquel il participera avec son prédécesseur Zakaria Wahby.

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septembre 11, 2018

L’indispensable calendrier des jours fériés 2018-2019

MAROC
Retrouvez ci-dessous les événements religieux, le calendrier civil, ainsi que le calendrier des vacances scolaires, fait pour vous et par LEPETITJOURNAL.COM éditions de Rabat et de Casablanca !

Calendrier civil des jours fériés :

Anniversaire de la Marche Verte (2018): mardi 6 novembre 2018

Fête de l’indépendance (2018) : dimanche 18 novembre 2018

Nouvel an : mardi 1er janvier 2019

Manifeste de l’indépendance : vendredi 11 janvier 2019

Fête du travail: mercredi 1er mai 2019.

Fête du Trône : mardi 30 juillet 2019

Libération de Oued Eddahab : mercredi 14 août 2019

Révolution du Roi et du peuple : mardi 20 août 2019

Fête de la Jeunesse : mercredi 21 août 2019

Anniversaire de la Marche Verte : mercredi 6 novembre 2019

Fête de l’indépendance : lundi 18 novembre 2019

Calendrier des vacances scolaires :

Rappelons que la période des vacances est la même pour toutes les régions du Maroc.

Vacances de la mi-1er semestre et la Marche verte : du dimanche 28 octobre 2018 au mardi 6 novembre 2018

Vacances de la mi-année scolaire : du dimanche 20 janvier 2019 au dimanche 27 janvier 2019

Vacances de la mi-2ème semestre : du dimanche 31 mars 2019 au dimanche 14 avril 2019 

Evénements religieux (dates à titre indicatif) :

1er Moharram : mardi 11 septembre 2018 (1 jour)

Aïd Al Mawlid : mercredi 21 et jeudi 22 novembre 2018 (2 jours)

1er ramadan : lundi 6 mai 2019 (le 1er Ramadan n’est pas férié mais c’est une date importante à noter)

Aïd Al Fitr : mardi 4 et mercredi 5 juin 2019 (2 jours)

Aïd Al Adha : dimanche 11 et lundi 12 août 2019 (2 jours)

1er Moharram (2019) : dimanche 1er septembre 2019 (1 jour)

Aïd Al Mawlid (2019) : samedi 9 et dimanche 10 novembre (2 jours)

Là, vous ne pourrez pas dire que vous ne saviez pas !

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septembre 9, 2018

Le contrat de travail obligatoire pour les travailleurs domestiques à partir du 2 octobre

MarocSociété
Le contrat de travail obligatoire pour les travailleurs domestiques à partir du 2 octobre
Par Abir El Adnani – 9 septembre 2018À 14:36
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A partir du 2 octobre, les travailleurs domestiques devront obligatoirement disposer d’un contrat de travail. Un salaire minimum est également fixé pour eux, il est de 13,46 DH bruts de l’heure, ce qui équivaut à 1 532 DH par mois.

Le projet de décret régissant le travail des domestiques entre en vigueur le 2 octobre. Si ce décret est publié, les employeurs des domestiques devront rédiger un contrat de durée déterminée ou indéterminée. Ce dernier devra être légalisé en trois exemplaires, un pour l’employé, le deuxième pour l’employeur et le 3e pour l’inspection du travail.

Grâce à cette loi, les domestiques auront droit à une couverture sociale, à l’immatriculation à la CNSS mais également à des jours de repos, fixés à un jour par semaine. Après six mois de travail continu, les travailleurs domestiques auront droit à un congé payé à hauteur d’un jour et demi de vacances pour mois de service.

Les avantages liés au logement et à l’alimentation ne seront pas déduits de la rémunération de base. Les indemnités de licenciement du travailleur domestiques seront quant à elles identiques à celles prévues par le code du travail.

Lire aussi: Vidéo. Torturées, violées, privées de liberté… des domestiques philippines témoignent

Selon nos confrères de L’économiste, le nombre d’heures de travail par semaine sera par ailleurs fixé à 40 heures pour les mineurs contre 48 heures pour les personnes majeures. Il est à noter que l’emploi des mineurs ne sera toléré que pendant une période de 5 ans après l’entrée en vigueur de la loi. Passé ce délai, employer des mineurs comme domestique sera passible d’une amende de 25.000 à 30.000 Dhs.

Selon la même source, le projet de décret est au Secrétariat général du gouvernement et devrait être présenté durant les prochaines semaines au Conseil de gouvernement.

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