Riad Dar Khmissa Marrakech
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Tag: Maroc

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avril 5, 2018

Cartier prend ses quartiers au Mandarin

Cartier prend ses quartiers au Mandarin
Jeudi 5 Avr, 2018 – 15h25min

Cartier prend ses quartiers au Mandarin
Superbe et chic soirée organisée par Cartier au Mandarin Oriental, en ce tout début de printemps. C’était l’occasion d’y croiser des invités triés sur le volet, le tout orchestré par Brice, de l’agence Delight Event. Et forcément, La Tribune de Marrakech était de la fête ! Le prestigieux joaillier ne s’arrête pas là puisqu’une boutique éphémère est ouverte jusqu’au 25 mai dans le palace. Les plus beaux bijoux prennent place dans un décor inspiré par le Royaume. Comme un écrin.

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mars 7, 2018

Marrakech du rire 2018

OUVERTURE DE LA BILLETTERIE LE 13 MARS https://youtu.be/YXzmErrwwrU Théâtre et Humour / Maroc du 20 juin au 24 juin 2018 Marrakech va rire très fort durant le… Read moreRead more Marrakech du rire 2018

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janvier 26, 2018

Le Maroc élu au Conseil Paix et sécurité de l’UA 

MAEC 

 
Le Maroc a été élu, ce vendredi 26 janvier, au Conseil Paix et sécurité (CPS) de l’Union africaine (UA), avec 39 voix pour, et 16 abstentions, lors de la 32e session ordinaire du Conseil exécutif du bloc panafricain. La session se tient dans la capitale éthiopienne en prélude au Sommet des Chef d’Etats et de gouvernement (28-29 janvier).

Les deux-tiers nécessaires pour cette élection sont de 36 voix.

Le Maroc siégera ainsi au CPS pour un mandat de deux ans (2018- 2020), renouvelable.

Rappelons que le Maroc succède à l’Algérie, dont le mandat arrive à échéance à la fin de ce mois, et qui n’était pas candidate pour le nouveau mandat 2018-2019 au sein du CPS, selon l’Agence APS (Algérie presse service).

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janvier 2, 2018

Cannabis : le Maroc pourrait-il suivre l’exemple de la Californie ?

Alors que la Californie vient de légaliser le cannabis récréatif, le débat sur la dépénalisation de cette drogue reste timide au Maroc. La production de cannabis serait potentiellement équivalente à 23% du PIB marocain.
 
Désormais, il sera possible de rouler un joint en toute légalité en arpentant les rues délicieusement subversives du Castro à San Francisco. La Californie vient en effet de légaliser la vente de cannabis à usage récréatif. Le Golden State devient ainsi le sixième État américain, après l’Alaska, le Colorado, le Nevada l’Oregon et l’Etat de Washington, à autoriser la vente de produits à base de cannabis aux personnes âgées de plus de 21 ans.

En 2018, si le cannabis reste une substance illégale aux yeux de la loi fédérale américaine, plus d’un Américain sur cinq vit dans un État où la vente de marijuana à usage récréatif est légale.

Selon les estimations de Marijuana Business Daily, site spécialisé dans l’économie du cannabis, l’impact de la légalisation de cette drogue sur l’économie américaine se chiffre, pour l’année 2016, entre 16 et 18 milliards de dollars. Cet impact pourrait atteindre 26,8 à 35,2 milliards de dollars en 2017 et pourrait même grimper jusqu’à 68,4 milliards de dollars à l’horizon 2021. Soit l’équivalent du PIB du Kenya.

Un business juteux… pour l’Europe

En mars 2017, un rapport du département d’Etat américain indiquait que la production de cannabis au Maroc équivalait à 23% du PIB du pays, soit plus de 23 milliards de dollars, en tenant compte des statistiques de 2016.

Ce chiffre semble être sous-estimé. Dans un entretien accordé au quotidien français Le Monde, la sociologue et économiste Kenza Afsahi, chercheuse au Centre Emile Durkheim (CNRS) et au Centre Jacques Berque à Rabat, indique que le chiffre avancé par le département d’Etat américain est issu du dernier rapport de l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime qui estime la production de haschich au Maroc à 700 tonnes. Or, le rapport du département d’Etat américain parle de cannabis brut et non pas de haschich ou résine de cannabis.

Les recettes de la vente de cannabis seraient donc supérieures aux 23 milliards avancés par le département d’Etat américain.

Selon Kenza Afsahi, la culture du cannabis au Maroc a connu des changements au cours de ces dix dernières années. Les surfaces cultivées ont diminué et de nouvelles variétés hybrides de cannabis, aux rendements et au taux de THC (substance psychoactive du cannabis) plus élevés ont été introduites. Plus gourmandes en eau, en engrais et en pesticides, ces nouvelles variétés nécessitent en outre de nouvelles techniques de culture et davantage de main-d’œuvre.

De plus, « le prix de la résine de cannabis à la consommation en Europe est beaucoup plus élevé que le prix à la ferme chez les paysans du Rif, et une grande partie des recettes du marché du haschich profite à l’étranger et pas à l’économie marocaine, encore moins aux paysans dont une partie vit dans une grande précarité » ajoute la chercheuse.

La légalisation du cannabis serait-elle une solution ?

En mars 2016, un Colloque international sur le cannabis et les drogues a été organisé à Tanger par Ilyas El Omari, secrétaire général du Parti authenticité et modernité (PAM) et président de la région de Tanger-Tétouan- Al Hoceima. Pour lui, le débat sur la légalisation du cannabis à des fins thérapeutiques et médicinales est un combat certes politique, mais nécessaire. « Il est anormal qu’au Maroc, on plante le kif et qu’en Europe, des gens s’en enrichissent », avait- il soutenu.

Le Maroc est à mille lieues de la Californie. Seule la légalisation du cannabis médicinal fait l’objet d’un débat au Royaume. Une légalisation à laquelle s’opposent notamment le PJD et le PPS mais aussi les paysans cultivateurs. Ces derniers « craignent qu’après avoir été sous l’emprise des trafiquants, ils soient désormais sous celles des lobbies pharmaceutiques, ou que la légalisation profite à d’autres régions agricoles où il y a moins de problème d’eau, où les terrains sont plus fertiles et moins accidentés » souligne Kenza Afsahi.

En attendant, ce sont plus de 20 milliards de dollars qui partent en fumée chaque année…

Source : Lesinfos.ma

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décembre 18, 2017

Kech Zapping

Voici un aperçu de l’actualité culturelle, associative, événementielle de Marrakech… Consultez le site ZwinUp pour avoir : – les horaires, la description… Read moreRead more Kech Zapping

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décembre 18, 2017

Le Maroc ouvre des négociations avec Airbnb

 
Les revenus générés grâce à la location de biens immobiliers via la plateforme Airbnb seront taxés au Maroc. L’État aimerait assurer une équité entre tous les acteurs du secteur touristique et pourrait s’inspirer de ce qui se fait en Europe en matière fiscale.

 
Les autorités marocaines ont entamé les négociations avec le géant Airbnb, pour trouver une solution à la taxation des nuitées cumulée par le site au Maroc. L’autre problématique qui pose problème pour le Maroc, et à laquelle il faudra trouver une solution, c’est la qualité des logements proposés.

C’est en tout cas, ce que nous a confirmé une source sûre et les solutions pourront être appliquées prochainement. L’objectif premier, c’est d’assurer une équité entre tous les acteurs du secteur touristique et de maîtriser la qualité de l’offre Maroc. Parmi les nombreux offreurs d’hébergement sur Airbnb, on trouve de nombreux riads.

Cette plateforme californienne fondée en 2008, permet à des particuliers de louer tout ou une partie de leur propre habitation comme logement d’appoint sauf que jusqu’à présent l’État était en dehors de la boucle. Cette problématique a été soulevée un peu partout dans le monde et quelques pays européens ont trouvé des accords avec l’entreprise américaine notamment sur la question fiscale.

S’inspirer de l’Europe

Airbnb a effectivement chamboulé les habitudes de consommation des voyageurs et principalement pour le logement, l’un des budgets les plus conséquents dans un voyage. Les particuliers qui reçoivent des touristes chez eux ne sont pas considérés comme des professionnels de l’hôtellerie et estiment qu’ils n’ont aucune obligation fiscale envers l’Etat.

Pourtant, les revenus de cette activité sont bel et bien imposables. À la différence des professionnels, le réflexe d’aller déclarer au fisc ses entrées d’argent supplémentaires pour un particulier n’est pas automatique. La solution qui sera adoptée au Maroc n’est toujours pas connue avec précision, mais elle devrait tendre vers ce qui est proposé ailleurs, et en Europe particulièrement.

 
En France, le ministère des Finances a émis un tutoriel pour expliquer les obligations fiscales aux personnes qui offrent leur logement sur cette plateforme. L’Etat français a ainsi réparti les propriétaires en deux catégories selon le niveau de revenu obtenu grâce à Airbnb.

Ainsi, il y a ceux dont les recettes annuelles sont inférieures à 32.900 euros, qui seront taxés à hauteur de 50% des revenus et sans devoir s’acquitter de la TVA. Pour les autres, l’administration fiscale française les considérera comme étant des professionnels.

 
Il n’est pas exclu qu’Airbnb collabore avec le fisc marocain pour lui livrer les informations nécessaires et relatives à chaque compte. Une fois l’accord trouvé avec l’État marocain, la plateforme devra expliquer à ses utilisateurs le mode d’emploi comme ce qu’elle a fait avec les autres pays. 

Il est aussi possible que des règles plus contraignantes soient imposées dans les grandes villes touristiques, comme ce qui se fera à partir de janvier prochain à Paris. La Mairie de la ville et l’entreprise californienne se sont mis d’accord pour limiter à 120 jours par an la location des logements entiers situés dans quelques arrondissements du centre de Paris. Selon notre source, cette solution pourrait être étudiée dans l’optique de protéger les établissements hôteliers.

Une vraie source de revenus

Le nombre de Marocain qui  un logement sur cette plateforme augmente jour après jour. Au fil des mois, la location via Airbnb est devenue une source de revenus non négligeables pour plusieurs personnes. En plus des personnes dont l’objectif est d’arrondir les fins de mois, nous pouvons trouver des établissements touristiques qui profitent de la notoriété mais aussi des avantages que propose le site.

L’application qui regroupe plus de 16.500 hébergeurs à travers le Maroc, génère chacun jusqu’à 10.000 DH par mois et par hébergeur, selon les chiffres 2016. Un chiffre qui sera probablement plus important en 2017, selon la courbe de croissance exponentielle que connaît la plateforme.

En 2016, et grâce aux offres publiées sur la plateforme californienne, plus de 210.000 touristes se sont rendus au Maroc en provenance de 140 pays. Ces derniers, passent en moyenne des séjours de 3,6 nuits et la moyenne des prix appliqués par les hébergeurs marocains tourne aux alentours de 85$, selon les statiques de Airbnb.

 
Par E.M.B
Lundi 18 décembre 2017 à 14h12

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