Riad Dar Khmissa Marrakech
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septembre 22, 2019

Demi jounée en Montgolfière

Prenez votre envol au pied des Jbilets au nord de la Palmeraie. Découvrez ces jolies montagnes dans l’authentique Marrakech, prenez de l’altitude et faites connaissance avec la ville ocre pendant qu’elle dort encore. Vous assisterez au lever du soleil à l’horizon pour mieux découvrir un paysage lunaire dans un calme magistral et admirer des vues contrastées entre sommets enneigés et terres arides. Vous passez un moment chaleureux et empreint d’humilité dans une région reculée du Maroc à deux pas de Marrakech.
Cette expérience matinale a été conçue pour partager un moment exceptionnel à deux ou à plusieurs… et comme le dicton le suggère : la vue appartient à celles et ceux qui se lèvent tôt !
Du moment où vous décollez jusqu’au « kiss landing », vous apprécierez la grandeur de Marrakech et de ses alentours. Une vue intégrale du paysage à 360° s’offre à vous sans complexes. Le vol n’est pas considéré comme une expérience extrême. Il s’agit plutôt d’un moment tout en douceur, contemplatif avec très peu de sensations de vertige.
C’est une équipe de pilotes rigoureux et méthodiques qui vous souhaite la bienvenue… avec un thé à la menthe bien sûr !
Pour les plus gourmands, nous vous proposons un vol Royal, juste pour vous en privé avec petit déjeuner top luxe, servis à bord de la nacelle en compagnie de votre propre pilote… quoi demander de plus ?
Vol En Montgolfière – L’Expérience Royale | ½ Journée
à partir de 520 €
Vol royal: Minimum 2 personnes, 520 € par personne, Enfant 10 ans et moins 260 €.
La nacelle, juste pour vous !
Cette option est unique. Parfaite pour une occasion spéciale, vous en garderez un souvenir impérissable. Il suffit seulement de vous laissez porter et de profiter de cette expérience spectaculaire. Un vol en montgolfière est déjà une aventure spéciale, mais ce vol Premium, organisé en privé, l’est encore plus. Seulement le commandant et un serveur à bord, tous les deux à votre service.
Expérience Montgolfière Marrakech | ½ Journée
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Vivez cette expérience une fois dans votre vie !
Planez en douceur et découvrez Marrakech vue du ciel !
Une heure de vol au-dessus de la ville millénaire de Marrakech avec les montagnes du Haut-Atlas en toile de fond. Une expérience unique en toute sécurité grâce à une équipe rodée et un équipement de qualité.

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août 8, 2019

MARRAKECH DEROULE LE TAPIS ROUGE AU CINEMA MAROCAIN

MARRAKECH DEROULE LE TAPIS ROUGE AU CINEMA MAROCAIN
Rédigé par : – 8 août 2019

La 18ème édition du Festival International du Film de Marrakech, qui se tiendra du 29 novembre au 7 décembre 2019, mettra fortement en valeur le cinéma marocain.

C’est désormais l’un des temps forts, réguliers et incontournables, du Festival international du film de Marrakech. A l’instar de la précédente édition, celle de 2019 réserve une place centrale au cinéma national à travers la section « Panorama du cinéma marocain », qui présente une sélection des meilleurs films d’auteurs marocains de l’année.

L’année dernière, cette section avait connu une très forte affluence du public et suscité un grand intérêt auprès des professionnels étrangers et des représentants de la presse internationale. Pour l’occasion, la fondation du Festival avait en effet invité de nombreux directeurs et programmateurs de grands festivals internationaux, qui ont ainsi pu découvrir plusieurs productions nationales. Depuis le début de l’année, plus d’une soixantaine de festivals dans le monde ont programmé des films marocains, participant ainsi au rayonnement et au développement du cinéma national.

Le cinéma marocain sera également présent dans les principales sections du festival. Un film marocain figurera, cette année encore, dans la compétition officielle. Il sera annoncé ultérieurement, en même temps que la sélection officielle, début novembre.

Dévoilé en première mondiale lors du dernier festival de Cannes, ADAM, le film de Maryam Touzani, sera quant à lui présenté en séance de gala. A noter que depuis sa première projection à Cannes, le film fait une brillante carrière dans les festivals internationaux (Karlovy Vary, Durban, etc.).

Comme chaque année depuis le démarrage du Festival, un hommage sera également rendu à une grande personnalité marocaine. L’occasion de mettre en lumière une filmographie qui aura marqué l’histoire du cinéma national et de faire découvrir aux nouvelles générations une partie du riche patrimoine cinématographique national.

Un film marocain sera également présenté dans la section Cinéma en Audio Description à destination des spectateurs malvoyants, un programme à vocation sociale auquel la Fondation du festival est fortement attachée. Les spectateurs de la place Jemaa El Fna auront, eux aussi, l’occasion de découvrir un grand succès populaire marocain, en présence de l’équipe du film.

Cette année verra également la reconduction du programme « Les Ateliers de l’Atlas ». Une nouvelle initiative lancée en 2018 à destination des professionnels marocains et de la région. Le programme industrie et développement de talents a connu un grand succès auprès des réalisateurs, auteurs et producteurs qui y ont pris part.

8 projets en développement et 6 films en post-production en provenance du Maroc, du Moyen Orient et d’Afrique ont ainsibénéficié de consultations par 17 professionnels internationaux, avant d’être présentés devant les professionnels présents, donnant ainsi lieu à plus de 200 rendez-vous individuels.

Cette 18ème édition promet donc d’œuvrer encore plus fortement au rayonnement et au développement du cinéma national !

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juillet 31, 2019

La destination où partir en octobre 2019

La destination où partir en octobre
L’arrivée de l’automne sera brutale cette année. Si vous n’étiez pas prêt à ressortir les pulls et les écharpes, on vous propose la destination où il fait encore bon vivre en octobre.
PAR ANISSA HEZZAZ. PHOTOS : | LE 26 SEPTEMBRE 2018
1. L’Egypte

Les températures en Egypte frôlent souvent les 40 degrés la plupart de l’année. Mais octobre serait la meilleure période de l’année pour s’y rendre puisqu’en moyenne, il fait 28 degrés. Les touristes affluent également beaucoup moins pendant cette période ce qui a comme conséquence directe de diminuer les prix des hôtels et des excursions. Ainsi, il vous sera très facile d’aller visiter les pyramides bien connues de Giza, ou encore les nombreux tombeaux qui se retrouvent un peu partout dans le pays, sans devoir forcément braver la foule. En octobre, c’est aussi le moment du fameux festival d’Abu Simbel, un événement qui se tient au temple du Ramsès tous les 22 octobre et qui risque de vous en mettre plein la vue : c’est en effet l’un des rares moments de l’année où ce sanctuaire intérieur laisse pénétrer les rayons du soleil. Un phénomène naturel à ne pas manquer.

2. Prague

Si vous n’avez pas encore eu la chance d’aller faire un tour du côté de l’Europe de l’Est, notez que Prague vaut vraiment le détour. Bien que les températures ne soient pas très hautes en cette période de l’année, la ville aux mille tours et mille clochers prend une tout autre allure une fois la haute saison touristique terminée. La ville, classée au patrimoine mondial de l’Unesco, ne l’est pas pour sa bière et sa vie nocturne très animée. Si on aime Prague, c’est avant tout son architecture très riche qui lui confère un charme presque magique.

3. Marrakech

Depuis quelques années, Marrakech devient pour beaucoup, the place to be. Et ça se comprend. Au-delà du climat très favorable dont bénéficie le Maroc d’une manière générale, Marrakech est aussi une vraie caverne d’Alibaba. Entre sa bien connue Place Jemaa el-Fna, ses nombreuses mosquées et son magnifique jardin Majorelle, celle que l’on surnomme la Ville Rouge a de quoi satisfaire vos envies de voyages. En octobre, les températures baissent un petit peu comparées aux mois précédents, ce qui rend les promenades dans la ville beaucoup plus agréables.

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juillet 31, 2019

Air Arabia renforce ses services

FLASH
Air Arabia renforce ses services
Par L’Economiste| Le 31/07/2019 – 15:25 | Partager
Air Arabia renforce ses services
La compagnie low cost Air Arabia Maroc propose depuis ce mercredi 31 juillet à ses passagers une offre exceptionnelle de services avec des options VIP de l’enregistrement à l’embarquement. Ainsi, l’enregistrement et l’embarquement peuvent se faire en mode fast track. Les clients peuvent aussi bénéficier d’un accès au salon lounge Pearl conçu pour leur offrir le meilleur bien-être.

Ces services seront opérationnels dans les aéroports de Casablanca, Marrakech, Rabat, Agadir, Tanger, Fez et Dakhla. Ils sont accessibles lors de la réservation de billet sur le site de la compagnie, le centre d’appel, les agences de voyages partenaires ou directement à l’aéroport.

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juillet 31, 2019

Les “Marocains rigolos à l’étranger” en tournée dans 3 villes marocaines

MAROC
31/07/2019 13h:05 CET | Actualisé il y a 19 heures
Les “Marocains rigolos à l’étranger” en tournée dans 3 villes marocaines
Le festival sera de passage dès demain à Rabat.
Rédaction du HuffPost Maroc
Les
MRE FESTIVAL
HUMOUR – Les “Marocains rigolos à l’étranger” repartent en tournée. Du 30 juillet au 20 septembre, les artistes et comédiens du MRE festival parcourront cinq villes du Maroc et d’Afrique à l’occasion de la 5e édition. Ils passeront notamment par Rabat, Casablanca, Marrakech, Dakar et Abidjan.

Au Maroc, la tournée démarre dès le jeudi 1er août au Théâtre National Mohammed V à Rabat, avec une première représentation de Booder, un habitué du festival.

Le show se poursuit ensuite au Studio des Arts Vivants à Casablanca avec, le vendredi 2 août, le stand up du comédien Saad Mabrouk “Wahed Man Show”, puis le samedi 3 août avec le spectacle “MRE Birthday show”, qui réunit les artistes Booder, Rachid Rafik, Karim Saïdi, Oussama Benali, Younes Depardieu, Yassine Hitch et Redouane Behache.

A Marrakech, le public a rendez-vous le dimanche 4 août au Palais des Congrès avec le one man show de Oualas.

Organisé par CastQuête Entertainment, MRE festival a “pour but de réunir et faire découvrir la relève artistique marocaine à l’étranger, mais aussi valoriser et favoriser l’échange culturel et amical entre le Royaume et les pays d’Afrique de l’Ouest”, expliquent les organisateurs de l’événement dans un communiqué.

L’affiche de cette année annonce des “artistes de talents, de grands habitués et incontournables du festival, mais aussi de nouveaux visages”, continue la même source.

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Rédaction du HuffPost Maroc
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juillet 31, 2019

Mous Lamrabat, ce photographe marocain qui reconfigure les clichés

Mous Lamrabat, ce photographe marocain qui reconfigure les clichés
Arts
LE 31 JUILLET 2019
Mous Lamrabat, photographe marocain de 36 ans, décrypte avec nous les symboles cachés derrière ses photos atypiques.

Par Soundous Chraibi

Instagram / @Mouslamrabat

7 min
Le 22 juin, l’exposition “Dounia”, signée par le duo Artismous débutait à la Voice Gallery de Marrakech. En novembre 2018, le créateur de mode Artsi Ifrach et le photographe Mous Lamrabat, deux artistes insolites aux styles complémentaires, ont décidé de joindre leurs efforts et leurs talents pour donner naissance à un duo artistique 100% marocain. En parallèle, chacun d’entre eux poursuit sa carrière ainsi que ses projets personnels.

Des débuts sous le signe de l’anticonformisme
“All the way from Mousganistan” – c’est ce qu’indique la biographie Instagram du photographe Mous Lamrabat. Il naît en 1983 à Temsamane, une petite commune rurale du Rif. Avant même de savoir faire ses premiers pas, il s’envole avec sa famille pour la Belgique, où il grandira.

Mous Lamrabat débute sa carrière artistique en 2010 en tant qu’assistant, après avoir fini ses études d’architecture d’intérieur. “J’ai obtenu mon diplôme à 27 ans et j’ai même reçu une belle offre d’emploi, mais j’ai laissé tomber. Je me suis tout simplement rendu compte que ce n’était pas un domaine où je pouvais exprimer ma créativité comme je le souhaitais. Alors j’ai commencé la photographie, bien que je ne savais pas réellement comment ça marche. Mes parents pensaient que j’étais devenu fou”, nous confie Mous Lamrabat.

Cependant, même après s’être fait une place dans le domaine en tant que photographe de mode, le problème restait le même : “Il fallait se conformer à certaines normes, faire ce qui est était attendu. Et ça non plus, ce n’est pas réellement ce que je voulais faire. Alors j’ai laissé tomber l’agence avec laquelle je travaillais. Financièrement ça a été une période très dure, mais ça m’a permis de me concentrer sur moi et sur mon travail personnel. A ce moment-là de ma vie, j’ai compris qu’un investissement, ce n’est pas toujours de l’argent”.

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L.ove R.ules E.verything A.round M.e

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Mélanges de genres et mariage de cultures
Des photos authentiquement marocaines, inspirées des traditions de son pays ainsi que du patrimoine culturel qui les accompagne, c’est ce que Mous Lamrabat met principalement en avant. La singularité de son travail, c’est aussi ce contraste entre le traditionnel et le moderne, la juxtaposition de deux mondes qui semblent à première vue complètement opposés, mais qui une fois combinés, créent une mystérieuse harmonie. Burqa à McDo, gandoura à Gucci, kaftan à Disney…

Il explique : “Ce mélange, c’est celui dans lequel j’ai grandi. Même si j’ai été élevé à l’étranger, je viens d’une famille traditionnelle, qui a toujours voulu s’assurer que je ne délaisse pas les valeurs et l’héritage culturel qui m’ont été transmis. De mon côté, quand j’étais au primaire, je ne voulais pas être étiqueté comme étant le petit Marocain. Je voulais un t-shirt Bob l’éponge comme les autres ! Plus tard, je me suis rendu compte que l’on n’avait pas besoin de choisir, que le traditionnel peut être moderne et fashion. Les gens pensent qu’en suivant la mode occidentale, ils auront l’air plus class et plus stylés. C’est faux, parce qu’on ne devrait pas toujours avoir à choisir entre une chose et une autre. Nous aussi, on peut faire de la mode à partir de nos propres traditions. Quand je vois des gens mettre un saroual avec la dernière paire de chaussures à la mode, je me dis que ça c’est le Maroc. C’est notre mode, et j’adore ça”.

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Prince bob

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Des voiles et des tissus, tout un symbole
Une autre constante dans le travail de Mous Lamrabat : des portraits aux visages cachés. Sa spécialité. Masques, bandeaux sur les yeux, longs voiles et tissus de couleurs, unis ou alors signés Gucci et Louis Vuitton, les traits d’un visage apparaissent rarement, et l’attention est rarement focalisée sur le corps du mannequin. “Je trouve qu’un visage attire beaucoup trop l’attention, et qu’il a tendance à détourner nos regards du reste de la photo. C’est toujours la première chose que l’on voit et sur laquelle on se focalise le plus. Moi, je veux être en mesure d’orienter et de diriger le regard de mon spectateur comme je le souhaite, lui faire voir un tout, et pas seulement un visage”, nous explique le photographe.

“Ensuite, il y a aussi le mystère qui réside dans ce qui est caché. J’ai remarqué que pendant les expositions, les gens passent beaucoup plus de temps devant les photos avec des visages cachés. A partir du moment où l’on sait qu’il y a un visage, mais qu’on ne peut pas le voir, notre créativité est tout de suite stimulée. On peut s’imaginer tout et n’importe quoi. En fait, j’ai compris que lorsque je cache un visage ou une personne, ça devient la personne qui regarde la photo”, poursuit l’artiste.

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Moroccan dinner 🍖

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Pour des raisons aussi bien symboliques qu’esthétiques, le voile est donc rapidement devenu un élément récurrent de ses photographies. Sur la même lancée, on y retrouve également beaucoup de niqab et de burqas, ces longs tissus noirs recouvrant l’intégralité du corps de la femme.

Ces vêtements alimentent des débats passionés depuis plusieurs années, mais Mous Lamrabat tient à signaler un point important : pas de dimension religieuse ou politique dans son travail. “Il y a quelques dizaines d’années, le voile était un accessoire de mode – ça ne dérangeait personne. Pour moi, c’en est encore un, et c’est pour ça que j’aime m’en servir”.

Un style tout droit sorti du “Mousganistan”
“Mousganistan”, c’est le nom que le photographe a donné à son univers, celui dans lequel il puise son inspiration. Un univers décalé et original. Pour l’artiste, le beau et l’esthétique restent essentiels et représentent une grande partie de son travail. “J’ai commencé en tant que photographe de mode, donc oui, la dimension esthétique a toujours fait partie de mon travail. Je pense que c’est important de pouvoir représenter certaines choses qui valent par leur beauté, et qui sont belles en elles-mêmes”, nous confie-t-il.

“Mais il n’y a pas que ça. Au-delà de la dimension esthétique, je pense que la vraie beauté de mon travail apparaît lorsque je regarde les commentaires des gens sur mes photos : ils y voient tous quelque chose de différent. J’ai beaucoup appris sur mon travail à travers la perception que les gens avaient dessus”, s’enthousiasme encore Mous Lamrabat.

En arrière-plan, ses prises présentent souvent un fond blanc ou noir, sobre et uni. Il n’est pas rare de retrouver aussi un papier peint Gucci customisé aux couleurs du drapeau du Maroc. Il lui arrive également d’opter pour un ciel bleu, un désert ou de vastes étendues pour restituer l’impression d’infini, et très rarement pour des photos prises en intérieur.

Pour Mous Lamrabat, la notion de pureté est cruciale parce que comme il nous l’a si bien dit, ce sont les choses pures qui perdurent au fil du temps : “Je veux faire des photos intemporelles. Mousganistan, c’est un monde idéal où chacun peut revenir à la plus pure version de soi”.

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Sa prochaine exposition au Maroc est prévue pour 2020. Après “Mousganistan“ le 31 janvier à Sint-Niklaas en Belgique, ce sera sa première exposition personnelle dans son pays natal. Son ambition pour ce projet : transmettre un art que l’on ne retrouve pas seulement dans les galeries ou les salons. “Je veux que cette exposition soit accessible à tout le monde – surtout à la jeunesse et aux artistes qui se sentent un peu perdus, et qui ne savent pas vraiment par où commencer. Je veux que les gens qui viendront voir cette exposition soient ceux qui en ont le plus besoin”.

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