OUVERTURE DE LA BILLETTERIE LE 13 MARS https://youtu.be/YXzmErrwwrU Théâtre et Humour / Maroc du 20 juin au 24 juin 2018 Marrakech va rire très fort durant le… Read moreRead more Marrakech du rire 2018
Alors que la Californie vient de légaliser le cannabis récréatif, le débat sur la dépénalisation de cette drogue reste timide au Maroc. La production de cannabis serait potentiellement équivalente à 23% du PIB marocain.
Désormais, il sera possible de rouler un joint en toute légalité en arpentant les rues délicieusement subversives du Castro à San Francisco. La Californie vient en effet de légaliser la vente de cannabis à usage récréatif. Le Golden State devient ainsi le sixième État américain, après l’Alaska, le Colorado, le Nevada l’Oregon et l’Etat de Washington, à autoriser la vente de produits à base de cannabis aux personnes âgées de plus de 21 ans.
En 2018, si le cannabis reste une substance illégale aux yeux de la loi fédérale américaine, plus d’un Américain sur cinq vit dans un État où la vente de marijuana à usage récréatif est légale.
Selon les estimations de Marijuana Business Daily, site spécialisé dans l’économie du cannabis, l’impact de la légalisation de cette drogue sur l’économie américaine se chiffre, pour l’année 2016, entre 16 et 18 milliards de dollars. Cet impact pourrait atteindre 26,8 à 35,2 milliards de dollars en 2017 et pourrait même grimper jusqu’à 68,4 milliards de dollars à l’horizon 2021. Soit l’équivalent du PIB du Kenya.
Un business juteux… pour l’Europe
En mars 2017, un rapport du département d’Etat américain indiquait que la production de cannabis au Maroc équivalait à 23% du PIB du pays, soit plus de 23 milliards de dollars, en tenant compte des statistiques de 2016.
Ce chiffre semble être sous-estimé. Dans un entretien accordé au quotidien français Le Monde, la sociologue et économiste Kenza Afsahi, chercheuse au Centre Emile Durkheim (CNRS) et au Centre Jacques Berque à Rabat, indique que le chiffre avancé par le département d’Etat américain est issu du dernier rapport de l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime qui estime la production de haschich au Maroc à 700 tonnes. Or, le rapport du département d’Etat américain parle de cannabis brut et non pas de haschich ou résine de cannabis.
Les recettes de la vente de cannabis seraient donc supérieures aux 23 milliards avancés par le département d’Etat américain.
Selon Kenza Afsahi, la culture du cannabis au Maroc a connu des changements au cours de ces dix dernières années. Les surfaces cultivées ont diminué et de nouvelles variétés hybrides de cannabis, aux rendements et au taux de THC (substance psychoactive du cannabis) plus élevés ont été introduites. Plus gourmandes en eau, en engrais et en pesticides, ces nouvelles variétés nécessitent en outre de nouvelles techniques de culture et davantage de main-d’œuvre.
De plus, « le prix de la résine de cannabis à la consommation en Europe est beaucoup plus élevé que le prix à la ferme chez les paysans du Rif, et une grande partie des recettes du marché du haschich profite à l’étranger et pas à l’économie marocaine, encore moins aux paysans dont une partie vit dans une grande précarité » ajoute la chercheuse.
La légalisation du cannabis serait-elle une solution ?
En mars 2016, un Colloque international sur le cannabis et les drogues a été organisé à Tanger par Ilyas El Omari, secrétaire général du Parti authenticité et modernité (PAM) et président de la région de Tanger-Tétouan- Al Hoceima. Pour lui, le débat sur la légalisation du cannabis à des fins thérapeutiques et médicinales est un combat certes politique, mais nécessaire. « Il est anormal qu’au Maroc, on plante le kif et qu’en Europe, des gens s’en enrichissent », avait- il soutenu.
Le Maroc est à mille lieues de la Californie. Seule la légalisation du cannabis médicinal fait l’objet d’un débat au Royaume. Une légalisation à laquelle s’opposent notamment le PJD et le PPS mais aussi les paysans cultivateurs. Ces derniers « craignent qu’après avoir été sous l’emprise des trafiquants, ils soient désormais sous celles des lobbies pharmaceutiques, ou que la légalisation profite à d’autres régions agricoles où il y a moins de problème d’eau, où les terrains sont plus fertiles et moins accidentés » souligne Kenza Afsahi.
En attendant, ce sont plus de 20 milliards de dollars qui partent en fumée chaque année…
Source : Lesinfos.ma
Chers Amis, Clients, Partenaires et Familles,
Il est vrai que ces dernières années, n’ont pas étés de tout repos. Je dirai même assez difficiles.
Malgré tout, vous avez toujours répondu présents.
Vous nous avez supporté, encouragé, et soutenu. À vos côtés nous avons pu rester sur pieds, compétitifs et même visibles en haut de divers classements, nous qualifiant parmi les meilleures maisons d’hôtes, de Marrakech.
Comment vous dire Merci ?
En 15 ans, nous avons fait la connaissance de clients sincères, qui se sont devenus rapidement et naturellement de véritables amis.
En 15 ans, nous avons vécus, avec certains d’entre vous, des moments, des évènements, très forts et inoubliables.
En 15 ans, nous sommes allés vite, parfois trop vite, mais nous sommes toujours retombés sur nos pattes, et ce, grâce à vous.
En 15 ans, nous avons beaucoup essayé, mais surtout beaucoup appris, toujours pour vous, votre confort, votre accueil. Donner à ce lieu cette convivialité et cette simplicité tant appréciée.
Pour une idée, une innovation qui marche, combien d’échecs, de doutes ?
Il faut explorer, accepter d’avoir tort, revenir en arrière, pour mieux recommencer.
Chaque année, des milliers de personnes se déplacent, pour découvrir cette ville magnifique.
Nous avons la chance que la cité « Ocre » soit une des destinations préférées des vacanciers du monde entier.
Ce que nous avons appris de plus important c’est que nous n’irions nulle part sans vous.
Alors merci. Pour chaque séjour passé avec nous, chaque étoile distribuée, chaque discussion, pour votre aide durant le financement participatif de 2016.
Ensemble, nous sommes déjà allés très loin et j’espère que cela signifie le début d’un long voyage.
Nous avons hâte de vous revoir durant cette nouvelle année.
Que 2018 soit pour vous, votre famille, vos amis et vos amours, une année d’exception, pleine de joie, d’amour et de paix.
A très bientôt dans votre petit havre de paix
la merveilleuse équipe du Riad Dar Khmissa Marrakech
Voici un aperçu de l’actualité culturelle, associative, événementielle de Marrakech… Consultez le site ZwinUp pour avoir : – les horaires, la description… Read moreRead more Kech Zapping
Les revenus générés grâce à la location de biens immobiliers via la plateforme Airbnb seront taxés au Maroc. L’État aimerait assurer une équité entre tous les acteurs du secteur touristique et pourrait s’inspirer de ce qui se fait en Europe en matière fiscale.
Les autorités marocaines ont entamé les négociations avec le géant Airbnb, pour trouver une solution à la taxation des nuitées cumulée par le site au Maroc. L’autre problématique qui pose problème pour le Maroc, et à laquelle il faudra trouver une solution, c’est la qualité des logements proposés.
C’est en tout cas, ce que nous a confirmé une source sûre et les solutions pourront être appliquées prochainement. L’objectif premier, c’est d’assurer une équité entre tous les acteurs du secteur touristique et de maîtriser la qualité de l’offre Maroc. Parmi les nombreux offreurs d’hébergement sur Airbnb, on trouve de nombreux riads.
Cette plateforme californienne fondée en 2008, permet à des particuliers de louer tout ou une partie de leur propre habitation comme logement d’appoint sauf que jusqu’à présent l’État était en dehors de la boucle. Cette problématique a été soulevée un peu partout dans le monde et quelques pays européens ont trouvé des accords avec l’entreprise américaine notamment sur la question fiscale.
S’inspirer de l’Europe
Airbnb a effectivement chamboulé les habitudes de consommation des voyageurs et principalement pour le logement, l’un des budgets les plus conséquents dans un voyage. Les particuliers qui reçoivent des touristes chez eux ne sont pas considérés comme des professionnels de l’hôtellerie et estiment qu’ils n’ont aucune obligation fiscale envers l’Etat.
Pourtant, les revenus de cette activité sont bel et bien imposables. À la différence des professionnels, le réflexe d’aller déclarer au fisc ses entrées d’argent supplémentaires pour un particulier n’est pas automatique. La solution qui sera adoptée au Maroc n’est toujours pas connue avec précision, mais elle devrait tendre vers ce qui est proposé ailleurs, et en Europe particulièrement.
En France, le ministère des Finances a émis un tutoriel pour expliquer les obligations fiscales aux personnes qui offrent leur logement sur cette plateforme. L’Etat français a ainsi réparti les propriétaires en deux catégories selon le niveau de revenu obtenu grâce à Airbnb.
Ainsi, il y a ceux dont les recettes annuelles sont inférieures à 32.900 euros, qui seront taxés à hauteur de 50% des revenus et sans devoir s’acquitter de la TVA. Pour les autres, l’administration fiscale française les considérera comme étant des professionnels.
Il n’est pas exclu qu’Airbnb collabore avec le fisc marocain pour lui livrer les informations nécessaires et relatives à chaque compte. Une fois l’accord trouvé avec l’État marocain, la plateforme devra expliquer à ses utilisateurs le mode d’emploi comme ce qu’elle a fait avec les autres pays.
Il est aussi possible que des règles plus contraignantes soient imposées dans les grandes villes touristiques, comme ce qui se fera à partir de janvier prochain à Paris. La Mairie de la ville et l’entreprise californienne se sont mis d’accord pour limiter à 120 jours par an la location des logements entiers situés dans quelques arrondissements du centre de Paris. Selon notre source, cette solution pourrait être étudiée dans l’optique de protéger les établissements hôteliers.
Une vraie source de revenus
Le nombre de Marocain qui un logement sur cette plateforme augmente jour après jour. Au fil des mois, la location via Airbnb est devenue une source de revenus non négligeables pour plusieurs personnes. En plus des personnes dont l’objectif est d’arrondir les fins de mois, nous pouvons trouver des établissements touristiques qui profitent de la notoriété mais aussi des avantages que propose le site.
L’application qui regroupe plus de 16.500 hébergeurs à travers le Maroc, génère chacun jusqu’à 10.000 DH par mois et par hébergeur, selon les chiffres 2016. Un chiffre qui sera probablement plus important en 2017, selon la courbe de croissance exponentielle que connaît la plateforme.
En 2016, et grâce aux offres publiées sur la plateforme californienne, plus de 210.000 touristes se sont rendus au Maroc en provenance de 140 pays. Ces derniers, passent en moyenne des séjours de 3,6 nuits et la moyenne des prix appliqués par les hébergeurs marocains tourne aux alentours de 85$, selon les statiques de Airbnb.
Par E.M.B
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Hélène Lisle
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Comment bien se tenir à table ? Quelles sont les choses à ne surtout pas dire ? Que faut-il s’interdire ? Zoom sur ces dix fautes que nous sommes si nombreux à faire.
“Manger” ou “Dîner” ?
Ce que l’on dit : “On va manger ?”
Ce qu’il faut dire : “On va déjeuner / dîner ?”
Explications.Faute ! Comme le répète ma collègue préférée, on “mange quelque chose” et on va “déjeuner”, “dîner”, “souper” ou “petit-déjeuner”, au choix. Donc, on choisit.
“Bon appétit” ou rien du tout ?
Ce que l’on dit : “Bon appétit !”
Ce qu’il faut dire : rien du tout
Explications. Souhaiter “Bon appétit” suggère que vous aurez besoin d’avoir de l’appétit pour manger ce que votre hôte a préparé. En gros, que ce n’est pas folichon. Pas très sympa… Conclusion : on ne dit rien.
“Ce n’est pas bon”, “Je n’aime pas” ou rien du tout ?
Ce que l’on dit : “C’est dégoûtant”
Ce qu’il faut dire : rien
Explications. “On ne dit pas ‘C’est dégueulasse’, on dit ‘Je n’aime pas'”, répétait ma maman quand j’étais enfant. L’idéal étant… de ne rien dire. Si vous êtes allergique ou que vous suivez un régime spécial, informez-en vos hôtes avec discrétion plusieurs jours avant le repas. Si cela n’a pas été fait, on se sert, on prend une petite portion et s’arrange pour ne pas se faire griller.
Se servir ou attendre la maîtresse de maison ?
Ce que l’on fait : se servir en premier
Ce qu’il faut faire : attendre la maîtresse de maison
Explications.”On attend mamie !” lançait toujours mon papi. Il avait raison, mon petit papi : on ne doit jamais, jamais saisir ses couverts ou (pire !) commencer à manger avant que tous les invités ne soient servis… et surtout que la maîtresse de maison, assise, ne l’ait autorisé en commençant elle-même à manger. Prenez aussi le morceau de viande ou de poisson devant vous, sans choisir (et sans commentaire !) Pour le fromage, pas de double service (et pas plus de trois fromages différents).
Assaisonner d’emblée ou attendre ?
Ce que l’on fait : saler/poivrer avant d’avoir goûté son plat
Ce qu’il faut faire : goûter… puis, éventuellement, assaisonner
Explications. Assaisonner son plat avant de le goûter insinue que l’on sait déjà qu’il ne nous conviendra pas… en gros, vous insultez le chef. D’abord on goûte et ensuite, on assaisonne si besoin.
Utiliser ses couverts comme on veut ou respecter l’ordre ?
Ce que l’on fait : utiliser ses couverts n’importe comment
Ce qu’il faut faire : utiliser les couverts de l’extérieur vers l’intérieur
Explications. Petit récap’ : sur la table, la serviette qui vous est destinée se trouve à la gauche de votre assiette. Lorsque vous vous installez, prenez-la et dépliez-la avec délicatesse afin de la poser sur vos genoux, dans le sens de la longueur. Utilisez en premier les couverts les plus éloignés de votre assiette et ainsi de suite, de l’extérieur à l’intérieur. Le couteau à pain doit se trouver au dessus de la serviette, vers les fourchettes. La cuillère et la fourchette situées en haut de votre assiette sont réservées au dessert. Lorsque vous avez terminé, ne repliez pas votre serviette, posez-la simplement à droite de votre assiette. A la fin du repas, retournez la fourchette, la cuillère et le couteau (pointe, dos bombés et lame vers l’assiette) transversalement. Voilà, vous savez tout.
Utiliser son couteau ou le laisser ?
Ce que l’on fait : utiliser son couteau à tort et à travers
Ce qu’il faut faire : l’utiliser le plus rarement possible
Explications. Évidemment, pour couper un morceau de viande ou de poisson, vous en aurez sans doute besoin. Mais ne vous en servez pas pour manger ou pour pousser, même si vous disposez d’un couteau réservé à cet effet. Si vous en ressentez le besoin, aidez-vous d’un morceau de pain… en évitant de saucer à la fin. Si vous en mourez d’envie, les chefs recommandent de planter un morceau de pain dans la fourchette.
Boire n’importe comment ou respecter les conventions ?
Ce que l’on fait : s’emmêler les pinceaux avec les verres
Ce qu’il faut faire : respecter les conventions
Explications. Le plus grand verre est destiné à l’eau, l’autre (ou les autres) au(x) vin(s). Le verre à champagne est en forme de flûte ou de coupe. Ne vous servez pas vous-même, sauf si personne ne fait le service. Si vous n’en voulez plus, laissez un peu de vin (ou de champagne, donc) au fond de votre verre.
Arriver à l’heure ou en retard ?
Ce que l’on fait : arriver trop tôt… ou trop tard
Ce qu’il faut faire : respecter le “quart d’heure de courtoisie”
Explications. En France, il est conseillé d’arriver quinze minutes après l’heure annoncée par l’hôte. Ces précieuses minutes lui permettront de fignoler les derniers préparatifs sans pression.
Sortir de table ou patienter ?
Ce que l’on fait : s’absenter… au propre, comme au figuré
Ce qu’il faut faire : on ne part pas aux toilettes, on n’envoie pas de messages, on ne répond pas au téléphone lorsque l’on est à table. D’ailleurs, ne posez pas votre téléphone (ou tout autre objet comme vos clefs, votre portefeuille ou votre sac) sur la table.
Explications. Vous voulez que votre hôte pense que vous avez mieux à faire que d’être à son dîner ? Bingo. Aller aux toilettes, répondre aux derniers textos ou appels… tout cela se fait avant de passer à table. En cas d’urgence (et de grosse urgence seulement !), on indique à l’hôte que l’on doit quitter la table quelques minutes… sans oublier de lui présenter des excuses.
Alors, prêts pour les grands dîners ?
* Sources : Laurence Caracalla (Le Savoir-vivre de la Parisienne), Nadine de Rothschild (Le bonheur de séduire, l’art de réussir) ma mère et mon papi